Marie et sa famille

Lundi 21 février 1 21 /02 /Fév 02:19

Chapitre 3
 
C'est bien chargés qu'ils retournèrent à l'appartement de Marie.
 
Sur le chemin, elle refléchissait à ce que son amant lui avait offert, se remémorant chaque propos. Troublée aussi par le montant des dépenses qu'il avait fait pour elle...
Elle ne fit même pas attention aux regards des gens sur sa tenue. Le seul changement étant le port de ce collier de cuir autour de son cou, tout noir avec trois anneaux brillants.
- Parfait pour accrocher une petite laisse...
 
Elle se rappelait ses commentaires sur les trois jupes qu'il avait choisi, toutes plus courtes les unes que les autres.
 
- avec des bas, tu n'auras intérêt à faire attention !
Il prit une belle quantité de bas noirs, opaques ou à résille.
 
Il lui prit aussi une robe noire plus longue mais bien décollettée devant et derrière.
 
- On achétera plus tard des chemisiers plus classiques ...mais pas trop quand même !
 
Deux soutiens gorges soutenant simplement sa grosse poitrine, les tétons restant nus, furent ajoutés ; lors de l'essayage elle se rendit compte que ses seins étaient encore plus projetés en avant ; tous les regards allaient être portés vers eux ! Mais elle n'en n'avait plus honte !
 
Elle pensait que les achats allaient s'arrêter aux aspects vestimentaires, mais Marc lui fit découvrir les boules de geisha, et ces fameux godemichets et plugs. Dans la rue elle pensait à Marc qui portait deux sacs contenant trois gods de différentes tailles et un chapelet de boules de geisha.
Plus troublant, il lui fit choisir une paire de menottes, une laisse, et un petit martinet ...
 
- Tu veux l'utiliser sur moi ? susurra-t-elle naïvement.
- Bien sûr, ma petite chienne sera peut-être désobéissante !
 
Il lui montra aussi quelques bijoux ...
 
- Regarde ! Tu aimes ce genre de bijoux ?
- Je ne suis pas idiote quand même, je sais que c'est pour les piercings !
- Tu aimerais en porter sur toi ?
- Je sais pas ! tu me demande ca là ..., et puis ca doit faire mal !
- Pas tant que ca, un peu au début, et puis si c'est fait par des pros ...
- Tu voudrais que je me fasse ... percer ...?
- Oui ma chérie, je veux que tu te transformes en une belle petite femelle troublante ; j'ai un ami qui pourra procéder...
-Un ami à toi ? J'aurais trop honte ?
- Honte ? tu sais que bientôt tu montreras tout ton corps à n'importe qui, n'importe où !
- Je ne pourrais pas Marc ! Mes jambes oui, mes seins aussi, mais pas tout, je ne peux pas, je ne suis pas une salope ou une pute !
- Les putes le font pour de l'argent ! Toi ce sera pour mon plaisir ...et le tien... car je suis persuadé que tu es une petite tartuffe ; je suis presque sur que tu mouilles en ce moment...
En plein magasin, il lui mit une main entre les cuisses. C'était facilité par la “longueur" de la jupe.
 
- J'avais raison ! Tu es trempée.
 
Marie était rouge ; heureusement il y avait peu de monde à cette heure dans le magasin.
 
C'est elle qui lui demanda où il voulait qu'elle se fasse percer ; au nombril ? à l'arcade sourcillère ?
Marc sourit de la naiveté de son amie ! Il lui fit faire quelques mètres, jusqu'au rayon des DVD sm, chercha quelques secondes, en trouva trois.
 
- tiens, regarde !
 
Il s'amusa du regard de Marie sur les jaquettes !
 
-C'est ca! C'est...ca...que...tu ...veux ...? Elle balbutiait presque...
 
- Oui ! Je sais que tu en es capable ! Tu aimes les bijoux, alors en porter sur toi devrait te plaire !
 
- oui, mais tu as vu où ? C'est horrible !
-Horrible ! tout de suite les grands mots ! tu sais que beaucoup de femmes en ont, de plus en plus parait-il ; En Angleterre, même les gamines se font percer un peu partout, et pourtant elle ne sont pas sado maso, ou alors pas encore !
 
- Mais quand même, je ne me vois pas avec tout cet attirail !
- On peut y aller progressivement si tu préfères !
 
Marc ne voulait pas brusquer Marie, il savait qu'il arriverait à ses fins en y allant par étapes.
 
- Progressivement ?
- Oui ! Tu commences par ce que tu veux !
- Par ce que je veux ? ...et toi, par quoi tu veux ?
- Par ce qui ne se voit pas, mis à part par moi pour l'instant !
- Si je comprends bien, tu veux commencer par mon sexe !
- Oui, par ton joli clito ou tes grandes lèvres !
 
Marie semblait avoir perdu toute crainte et lui demanda s'il voulait qu'elle soit comme ces femmes sur les photos.
 
- je sais que tu en es capable ! ton corps respire le sexe, tes formes pourront être encore mieux mises en valeur.
- Tu veux vraiment que je montre mon sexe à tout le monde ?
- Bien sûr, et tu verras que ca te plaira !
 
- Et ma famille ? comment tu crois qu'ils vont réagir en me voyant habillée comme une pute, avec plein de piercings ?
 
- Je t'ai déjà dit que je ne veux pas d'une pute mais d'une femme soumise ! Impudique et complétement libérée !
- J'ai envie de tout faire pour te plaire mon chéri, mais je ne sais pas si je pourrais, et puis en plus on peut avoir des ennuis avec la police si je me balade trop comme tu veux, déjà que je reste à poil à la maison ! Un jour un voisin va appeler les flics !
- Mais non !
- Et puis ma soeur Florence doit bientôt passer pour quelques jours, comment va-t'on faire ?
- Pour moi il n'y a rien de changé, c'est ta soeur ! tu n'as rien à cacher !
- Tu veux que je m'habille hyper court devant elle ? Que je reste à oilpé devant elle à la maison ? Tu crois qu'elle ne va pas me poser des questions ?
- Bien sûr ! Et tu répondras que tu prends du plaisir à tout ça ; d'ailleurs, de mon côté j'aimerais bien te faire l'amour devant elle !
- Devant elle ? Tu es fou ? En plus elle n'a qu'à peine seize ans même si elle fait plus !
- Oui! Je me demande même si elle n'a pas des plus gros seins que toi ?
- On a les mêmes mensurations, du 95 bonnets E comme emmerdements ! rajouta-t-elle en sourant !
- Et bien, tu pourras peut-être lui faire essayer une de tes nouvelles tenues !
- Tu veux te faire ma soeur ? Tu sais, je crois qu'elle s'est faite dépuceler l'été dernier, mais c'est tout !
- on en reparlera, mais revenant à tes bijoux, par où veux tu commencer ?
- Par le bas donc ! dit-elle -Regarde la photo, la fille en a deux à chaque lèvre, si tu veux cela peut-être rigolo !finit-elle en souriant à son amant.
-rigolo ? Ce n'est qu'un début ! dans quelques mois tu seras comme ces filles !
- Marie le regardait dans les yeux.
- Tu as raison ! Fais de moi ce que tu veux !
- Ce que je veux ? Attention ! après les lèvres on passera au clitoris, à tes mamelons, à ta langue, à ton septum !
- ...mon septum ...?
- oui, à ton nez, sous tes narines, un petit anneau t'ira très bien, comme pour les vaches !
 
Marie semblait réveuse lorsque Marc lui proposa un ou pluseurs tatouages.
- Quel genre ? Et où ? osa-t-elle demander
- Je ne sais pas encore,, certainement à des endroits sensibles ...
- Sensibles ?
- Oui, tu verras ; et puis il y a encore autre chose !
- Encore ?
- Oui, depuis quand as-tu tes cheveux longs ?
- Oh ! depuis toute petite ! Tu ne veux pas les couper quand même ?
- La chevelure est un symbole fort et tu seras beaucoup plus désirable avec ce que je voudrais ! Tu assumeras plus ta nouvelle vie.
- Qu'est-ce que tu veux ? Que je les racourcisse aux épaules ?
- Non !
 
Marie les avait actuellement jusqu'au milieu du dos ; Marc chercha à nouveau dans les DVD
- Tu veux que je me fasse une coupe garçonne ?
- Non ! continua-t-il
 
Là encore, il lui montra une nouvelle jaquette.
Cette fois-ci Marie blanchit et tint le boitier en tremblant.
 
- Non ca je ne pourrais pas, tu m'en demandes trop, ca va trop loin !
- Tu es sûre ?
- Oui ! j'aurais trop honte de sortir comme ca ! en plus si j'ai des piercings sur le visage !
 
Le DVD représentait une femme le crâne complétement tondu, bien luisant !
- Je pourrais t'acheter une perruque pour certaines occasions !
- C'est trop dur ce que tu me demandes, cela va trop vite !
- Trop vite ? alors c'est juste une question de rythme ? Sur le fond, avoir la tête rasée ne te dérangerait pas ! Je suis sur que tu es une petite maso qui s'ignore !
  
Une petite maso ? en tout cas Marie ressentait une excitation en se rappelant cette discussion au magasin lorsqu'ils arrivèrent chez elle. Marc lui dit qu'ils verraient pour les chaussures le lendemain. Comme très souvent il lui demanda de se déshabiller sur son pallier. Marie obtempéra en souriant, elle n'avait pas grand chose à enlever. Elle garda le collier.
- Bientôt, tu te déloqueras dès la porte du hall franchie !
- Et les voisins ?
- Et bien on improvisera ! Y en a pas qui te plaisent ?
 
Et ils rentrèrent dans l'appartement.
Elle et lui firent l'amour violemment. Marc étrenna la paire de menottes. Il allait pouvoir passer aux choses sérieuses. Il voulait que Marie soit complétement soumise avant l'arrivée de la petite soeur dans quelques semaines...

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille
Vendredi 18 février 5 18 /02 /Fév 21:03

Chapitre 2
 
Cette soirée au restaurant avait déclenché un nouveau type de rapports entre Marc et Marie. Tout en dînant, il lui expliqua ce qu'il attendait dorénavant d'elle. il avait bien perçu sa docilité et ses fantasmes cachés et il voulait les développer pour leur plaisir mutuel.
Marie avait du mal à manger, troublée par les phrases de son amant, ne sachant jusqu'où il voulait l'emmener, où plutôt si ...
 
Marc, lui même influencé par des lectures et quelques expériences non poursuivies par le passé pensait avoir trouver la perle rare qu'il recherchait depuis quelques années ; il allait pervertir, transformer, modeler à sa guise cette jeune étudiante. Il s'était rendu compte de jour en jour qu'elle avait des prédispositions cachées.
 
Lors de cette soirée il lui annonça de nouvelles règles. Elle allait devoir apprendre à s'exhiber et à perdre toute pudeur.
- Mais il y a des limites, quand même, minauda-t-elle
- Pour toi il n'y en aura pas, ni chez toi, ni à la Fac, ni chez tes parents !
- Ce n'est pas possible, je ne veux pas, je ne peux pas passer pour une salope !
- pas pour une petite salope ...mais pour une petite soumise !
- D'ailleurs, continua-t-il, tu m'as montré des photos de ta mère, tu tiens d'elle !
- c'était juste des photos en maillot de bain ! Je n'ai jamais vu ma mère en jupe au dessus du genou ! Et puis tu sais elle a quarante et un ans !
- Et ta soeur seize, je sais ! Mais vous êtes toutes les trois superbes avec vos poitrines ! Vous faites du monokini à la plage ?
Et ton père, qu'en pense-t-il ?
 
Marie, de plus en plus troublée, ne pu répondre, écoutant Marc.
 
- Dans ta garde robe, je ne veux plus que du noir, un peu de rouge, mais rien d'autre ! du noir tu as compris !
- Oui, mais j'ai peu de vêtements de cette couleur.
- Ca tombe bien car on va renouveler en profondeur tes tenues ! Et je compte bien te procurer quelques accessoires ...
 
- Quels genres d'accessoires chuchota Marie, car ils n'étaient quand même pas tout seuls dans ce restaurant, et elle avait remarqué certains regards sur sa grosse poitrine quelque peu bien mise en valeur par son nouveau chemisier.
 
- Tu verras bien demain, mais je pense que le port d'un collier t'ira très bien par exemple.
-Un collier ?
- Oui !Un collier comme on met aux chiens ... ou aux petites chiennes ...
- Tu veux que je porte un collier de chien autour du cou ?
- Oui ! Il la regarda durement dans les yeux.
- Et quand ?
- Tout le temps ou presque, comme d'autres choses !
- C'est quoi les autres choses ?
- Tu es bien curieuse ma petite cochonne ; As-tu jamais entendu parlé de godmichets, de plugs, de boules de geisha ?
- Non, ca sert à quoi ?
Marc était aux anges, sa petite Marie était décidemment très naîve ...
- Tu verras bien, mais je te promets que tu en ressentiras un grand plaisir !
 
La suite du repas se poursuivit sur le même thème. Marc lui demanda si elle aimerait faire l'amour avec deux hommes, trois hommes, beaucoup plus en même temps, avec une femme. Marie, surprise de devoir réfléchir à des questions qu'elle ne s'était jamais posé devint vite écarlate. Aimerait-elle être attachée ? Avoir des pinces
sur ses tétons, ses lèvres, son clitoris ? recevoir le martinet, être fouettée, cravachée ...
 
-Tes silences sont des réponses ma chérie !
 
Le repas prit fin et ils sortirent. Marc reprit sa voiture et demanda Marie si elle voulait voir quelque chose d'intéressant.
Elle lui répondit que oui.
 
Vingt minutes plus tard Marc s'enfonça dans le bois de Boulogne, et tout d'un coup Marie découvrit toute une faune de chaque côté de la route pourtant passante à cette heure avancée de la nuit.
Marc roulait presque au pas montrant à sa compagne les prostituées.
- il y a beaucoup de trans la dedans !
- Des trans ?
- Oui, des transsexuels, ne me dis pas que tu ne sais pas non plus ce que c'est !
 - Si si, mais je suis surprise.
Marc, tout en roulant passa sa main droite sur la cuisse largement dénudée de Marie.
- Tu es troublée ? tu sais qu'il n'y a pas que des putes, il y a aussi de temps en temps des couples qui viennent s'encanailler ici, si tu vois ce que je veux dire ...
- Mais ce n'est pas dangereux ?
- Ca peut l'être mais généralement les gens qui sont là savent pourquoi ils sont là et les voyeurs sont corrects, ils ne vont pas casser la poule aux oeufs d'or, la police fait assez de rondes !
En disant cela il caressait délicatement les lèvres intimes de Marie.
- Tu vois, c'est quand même plus pratique sans culotte !
- Arrête, tu commence à m'exciter avec en plus tout ce que tu me racontes !
- Ca t'excite ? Veux-tu qu'on descende et qu'on fasse un tour ?
- ......
- Juste un petit tour, je ne te demanderais rien ; je veux simplement que tu te rendes compte qu'il y a un monde de la nuit même si ce n'est pas forcement le plus sain.
- Le plus sain ?
- oui, ceux qui viennent observer ici ont souvent une vie affective mièvre, c'est triste.
 
Pour se garer il sortit les deux doigts qu'il avait entré dans la chatte de Marie.
- Je suis trempée ! dit-elle
- Je sais, j'ai remarqué ! Et il passa son doigt sous le nez de sa petite cochonne.
 
Dans la pénombre des faibles candélabres, il prit la main de Marie, surpris par le fait qu'elle accepta si vite de sortir de la voiture pour voir ce qui ce passe de plus près. Une ancienne compagne n'avait jamais voulu. Elle allait vraiment plus vite qu'il ne pensait ! Ce qui alla aussi vite furent les regards sur elle par une
gente masculine à 90% ! Sa jupe n'était pas si courte mais sa poitrine était bien dévoilée et elle sucitait bien des convoitises.
 
Marc, au bout de cent mètres parcourus le long de l'avenue lui proposa de s'enfoncer un peu dans le sous-bois. Ce fut Marie qui bifurqua la première en l'entrainant !
 
Au bout de vingt mètres d'un petit sentier ils virent des ombres devant eux. S'arrêtant, il virent qu'une femme, la jupe relevée se faisait prendre en levrette par un homme. Marc excité, se placa derrière Marie, prit ses gros seins en main -décidement sa position fétiche !- à travers son chemisier.
C'était la première fois que Marie voyait un autre couple faire l'amour, Même si ils étaient quasiment dans le noir !
Marc passa une main sous sa jupe, commenca à lui caresser les fesses ...
- Qu'en penses-tu ma petite cochonne ?
- Arrête ! Tu avais dit qu'on ferait juste un petit tour.
elle souriait en disant cela, se laissant caresser comme s'ils étaient seuls !
Mars se débraguetta.
-Prends ma queue !
Elle obéit et pris la queue déjà tendue et commenca à le branler.
De son coté il déboutonna le chemisier et les belles et puissantes mamelles de Marie écartèrent d'elles-mêmes les pans du chemisier.
Elle avait les seins à l'air dans un bois inconnu pour elle à quinze mètres à peine d'un couple tout aussi inconnu en train de baiser !!!
- Enlève ton chemisier ! lui dit-il
D'une main, alternant avec l'autre, elle l'ôta, le laissant choir à ses pieds. Il faisait doux pour ce printemps mais elle eu quand même  la chair de poule !Elle était maintenant le torse nu !
Ce fut alors que Marc lui dit qu'il y avait du monde à les regarder !
Elle se crispa sur la queue de son amant, mais ne la relacha pas !
- Où ca ? dit-elle, soudain inquiète mais sans songer à ramasser son chemisier.
-Derrière toi, mais ne te retourne pas ! Ne t'occupe pas d'eux, continue à t'occuper de ma queue !
Marie, ne savait plus quoi faire, elle n'était pas paniquée, mais ressentait quelque chose de nouveau, elle ne savait pas le définir...
-Ote ta jupe ma chérie !
Elle s'en doutait. Sans se retourner elle baissa celle-ci, sachant très bien qu'elle montrait ses fesses aux voyeurs. Combien étaient-ils au fait, Marc ne l'avait pas dit, mais après tout quelle importance se disa-t-elle.
Elle était maintenant complétement nue en plein air, dans un endroit pouvant être dangereux ! Plus de doute pour Marc, sa petite Marie était prête à beaucoup de choses, il hésitait toutefois à accélerer les choses : était-elle prête à se donner déjà à des inconnus ?
- Veux-tu les voir ? Veux tu les toucher, les caresser ? les sucer ?
Veux-tu qu'ils te prennent comme ceux que tu vois ?
- tu avais dit qu'on ferait juste un petit tour !
- Oui ! Et c'est pour cela que je vais respecter ma parole. on va retourner à la voiture mais je voudras que tu restes nue jusqu'à la route.
- Je vais devoir passer devant ces hommes toute nue ?
- Oui ! cela fait partie de ton éducation, tu verras, c'est comme si tu faisais du naturisme !
- Peut-être, mais ici il fait nuit et j'ai ta queue dans ma main !
- Veux-tu me sucer avant ? devant ces hommes ?
 
Sans un mot, mais en ne quittant pas Marc du regard, elle se mit à genoux et emboucha la tige de son amant. Il éjacula assez vite suffisement excité par la situation ! Marie se releva, du sperme aux commisures de ses lèvres. Marc prit sa jupe et son chemisier et ils partirent. Marie se rendit compte que les voyeurs étaient cinq, et
elle passa devant eux, les pointes des seins tendues. Elle se sentit étudiée, désirée...elle était fière...et elle regretta presque que Marc lui redonna ses vêtements près de l'avenue !
 
- Je suis content ma chérie ! Pour cette première fois je te rends tes vêtements mais bientôt je te ferais promener nue avec ton futur collier. Et puis une petite laisse t'irait bien, qu'en penses-tu ?
 
Marie, plus que troublée, avant de se rhabiller, l'embrassa fougueusement.
 
Dans la voiture, elle se laissa faire lorsque Marc lui ota à nouveau les boutons de son chemisier.
 
- tu va rentrer la poitrine à l'air ! Quand on a des seins comme les tiens on les montre à la terre entière !
 
A cette heure, personne ne bénéficia de la vue des appâts mammaires de Marie et il l'emmena chez lui.
 
La nuit fut courte, excités par ce qui s'était passé au bois, les deux amants firent l'amour comme des possédés ; Marc pensant à tout ce qu'il avait prévu avec elle, Marie se disant qu'avec un tel amant elle serait prête à tout accepter.
 
Le lendemain matin, enfin après midi, ils étaient prêts à faire des emplettes. Pour ne pas trop la choquer -quoique après la soirée précédente...- il décida de ne pas l'emmener dans un classique sex shop mais dans un de ces supermarchés du sexe -ca sonne mieux-, situé dans une petite rue proche de la rue du Faubourg St-antoine.
Pour y aller, il avait acheté d'avance une autre tenue pour sa compagne.
- Encore !
- Oui, tiens, il fait bon, je pense que ca t'ira !
Marie mit la courte jupe évasée, très courte jupe qui lui arrivait presque au raz des fesses !
- La tu exagères ! Je ne peux pas sortir avec une jupe comme ca !
Elle est vraiment à ras la touffe !
- que tu n'as plus... dit-il avec ironie
- De toute manière, bientôt tu ne porteras que cette longueur. Tu as de belles jambes, il faut que tu les montre !
- Mais je montre pratiquement mes fesses !
- Mais non, n'exagère-pas !
- si, je vais passer pour quoi ?
- pour une jolie fille un peu exhib ! Mais je veux plus !
- quoi de plus ? Dit-elle, inquiète.
- Je veux qu'on voit que tu es soumise, ma petite soumise, le collier de chien en est un élement, d'autres aussi.
- Lesquels ?
- Tu es bien curieuse ! tu verras bien ! Et lis les livres que je t'ai passé !
- Et c'est quoi ce débardeur ?
 
Le haut était un simple débardeur noir, très légerement transparent,
mais qui laissait en tout cas les pointes des seins apparents. Sa grosse poitrine n'avait jamais été aussi mise en valeur et exposée !
 
- Tu dois apprendre à te montrer, je te l'ai dit hier soir au resto !
- C'est trop, et c'est trop rapide, je n'ai pas l'habitude, je ne pourrais pas aller à la fac comme ca, je vais passer pour une pute !
- Et alors ? Tu seras une jolie pute et je suis certain que salope comme tu es tu mouilleras ta petite chatte !
 
Au lieu d'être choquée par les propos de son amant, Marie était au contraire plus que troublée. Elle avait toujours aimé son corps pour elle même et elle découvrait que l'exposer à d'autres lui faisait des sensations !
 
- Allez ! on y va !
Marc pensait à ce qu'il avait prévu d'acheter pour Marie et à ses réactions devant certains de ses projets. Comment allait-elle le prendre.
Il faisait beau, ils n'étaient pas loin et ils partirent à pied.
Marie fit se retourner beaucoup de gens. Il est vrai que cette jeune femme aux cuisses si génereusement exposées et à l'orgueilleuse poitrine tout aussi visible ne passait pas inapercue. Elle en était consciente...et sentait sa chatte s'humidifier...
 
Marc en voulait beaucoup plus ; il ne voulait pas d'une pute mais d'une femelle docile, fétichiste et soumise. Il allait voir ce qu'il allait pouvoir faire dans ce supermarché du sexe !

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus