Vendredi 11 mars 5 11 /03 /Mars 22:57

Chapitre 8
  
Marie était attachée à une grande croix de Saint-André qui occupait tout le fond de la salle ! Brigitte la fouettait durement à la vue des marques sur son corps complêtement nu ; en fait, elle avait juste ôté son chemisier transparent. Sa poitrine était zébrée ce qui horrifia sa jeune soeur qui le fut encore plus lorsqu'elle la vit sourire à son approche.
Comme avec Marie, Marc caressa les gros seins de la benjamine en se mettant derrière.
- Je crois que tu bats Marie au niveau des nichons ma chère Florence !
Celle-ci était cramoisie car il y avait bien une douzaine de personnes fortement occupées dans cette cave, et elle se faisait tripoter les seins devant tous !
 
Quelques minutes plus tard, elle ne savait plus oû elle était, ayant dans sa main gauche la queue d'Hervé, dans celle de droite celle de Marc ...et celle d'Ernst dans la bouche, le sucant suivant ses conseils.
- Tu disais que tu n'avais sucé qu'un sexe d'homme ? J'ai du mal à te croire de la manière dont tu te débrouilles ! lui dit-il.
 
Pendant ce temps katia avait posé des poids aux anneaux de Marie, étirant douloureusement ses lèvres, ainsi que des pinces à ses tétons. La laissant, elle partie avec Brigitte sur un sofa voisin pour se mettre en 69 !
Marie avait le corps brûlant des coups ... mais elle avait eu de multiples orgasmes. Entravée et toujours engodée elle vit sa petite soeur sucer successivement les trois hommes ...puis un autre, inconnu, puis encore un autre, plutôt bedonnant, Marc lui demandait de ne pas laisser de sperme, de tout avaler. Si elle avait sucé sans capote, c'est le sexe protégé que les hommes se succédèrent dans son sexe ; son anus resta vierge, mais une bonne dizaine d'hommes lui passèrent dessus ! Deux femmes se firent même lêcher, dont Brigitte !
 
C'est nues sous leur long manteau qu'elle sortirent de ce club privé. Marie, à sa grande surprise n'avait pas été pénétrée par quiconque. Elle pensait que la soirée n'était pas terminée pour elle, mais Marc les ramena, lui laissant même son manteau pour monter à son étage !
 
- Bonne nuit les filles, je vous laisse, vous avez sûrement des choses à vous dire ! Marie, on se verra après-demain, j'ai des choses à régler.
 
Après, une bonne douche les deux soeurs se couchèrent. Florence devait occuper le canapé mais Marie lui proposa de venir dans son lit.
- Ca sera mieux si on veux parler !
- D'accord, mais demain ! je suis fatiguée ! Je me demande comment j'ai pu accepter tout ca ; Tu te rends compte, il y a bien une dizaine de mecs qui m'ont baisée !!! et puis toi ! Tu as vu tes marques ! Ca te plait d'être battue comme ca ?
- Au début non, mais tu ne peux pas savoir comme ca m'a fait jouir !
 
Florence avait du mal à comprendre ; elle prit un sein de Marie, un peu surprise, le caressa d'une main, puis des deux...
- C'est vrai, je pense que je te bats d'un poil pour les seins !
- On tiens de notre mère, p'tite soeur ! Au fait tu as vu la paire de l'allemande ? Ca te plairait d'en avoir une comme elle ? Ca doit être génant non ?
- Génant quand on est prude et timide oui, mais Katia m'a l'air d'être une sacrée salope qui s'assume !
- J'le pense aussi ! Ca te dirait de partir en vacances chez eux, à mon avis ca pourrait être bien chaud !
- Oui ! dit Florence en se glissant nue sous la couette, ne disant pas à sa soeur qu'elle voulait vraiment aller en Allemagne ...
 
 
Au réveil, les deux soeurs étaient presques enlacées. Marie s'écarta doucement même si elle hésita à caresser un mamelon de Florence. C'était sa soeur tout de même ! Si depuis des mois elle s'enfonçait grandement dans la forêt de la perversion, elle ne se sentait pas encore capable de caresser sa petite soeur même si son amant n'attendait que ca !
Elle se leva, alla à la fenêtre, il faisait beau et la matinée était ....bientôt terminée ! Elle vit un homme la regardant en face mais ne se cacha pas, ne s'écarta pas, assumant sa nudité ; nul doute qu'il pouvait voir les anneaux brillants accrochés à son sexe ! elle devenait franchement salope ...
 
Florence, à son tour se leva, oubliant un instant l'absence de rideaux. Perverse, sa soeur ne dit rien.
- Marie ! Les fenêtres ! dit-elle en s'écartant vivement.
- Encore ? Tu l'as déjà dit hier soir ! fit Marie d'un air blasé.
- Attends ! Moi, je suis pas aussi salope que toi, c'est nouveau pour moi tu comprends ?
- Je ne suis pas une salope, j'obéis à Marc, c'est tout ! Et puis c'est rigolo !
- Ah bon ? Un jour les flics vont débarquer parce qu'il y en a un d'en face qui les aura appelé !!!
 
Marie ne répondit rien et partit dans la salle de bain ...suivie de Florence.
Les deux soeurs se promenèrent tout l'après midi. Florence insista pour mettre des vêtements qu'elle avait amené, et pas ce que voulait lui prêter sa soeur.
- J'ai fait une bétise hier soir de m'habiller comme une pute pour te faire plaisir.
- Tu n'étais pas une pute Florence, tu étais simplement sexy, une ado de 16 ans très sexy !
- ah oui ? et tu trouve normal qu'une ado de 16 ans se fasse sauter par plein de mecs ! J'les sens encore m'enfoncer leurs bites !!!
- Et ca t'as plu espèce de Tartuffe ? sourit Marie.
Florence ne répondit rien, toujours troublée ; elle n'oubliait pas non plus la chatte de Brigitte avec son anneau au clitoris ; elle ne savait pas pourquoi elle se demandait si celle de Katia aurait aussi bon goût ?
 
Elle admirait quand même sa grande soeur et son radical changement ; elle ne mettait que des mini jupes lui arrivant au raz des fesses et dévoilait à tout le monde son opulente poitrine. On se retournait sur sur son passage, sur sa démarche chaloupée occasionnée par le port de talons démesurés.
- Tu ne vas pas toujours à la Fac comme ca quand même ?
- Si ! Mais tu sais, je ne suis plus tellement assidue ! rajouta-t-elle en rigolant.
- Et tu vas faire comment quand il fera plus froid, tu t'enfileras un radiateur dans le cul ?
- On verra à ce moment, tu sais il y a plein de possibilités, et puis, je ne sais pas où j'en serais, tu as entendu Marc ?
- Oui! Tu veux vraiment te laisser percer partout, avoir des tatouages certainement obscènes, te faire raser la tête ? te faire sauter par n'importe qui, n'importe où ?
- ....Oui, cela peut paraître fou, mais je suis prête à tout pour Marc, il pourra me faire faire la pute s'il veux !
- Et les parents ? Tu te vois arriver à la maison la boule à zéro, habillée comme t'es là, avec des anneaux partout ?
- Je sais, on n'y est pas encore ! C'est aussi pour eux que j'hésite à continuer.
Florence poursuivit.
- Et puis moi ! Y a Hervé qui me parlait aussi de piercings ! Il me disait qu'avec des seins comme les nôtres cela devrait être obligatoire d'avoir des boucles aux tétons ! T'entends ? Ils sont spéciaux quand même !
- Oui, mais qu'en penses-tu ? T'aimerais être percée ?
- J'ai 16 ans Marie ! 16 ans, tu crois pas que c'est un peu jeune ?
 
Elles prirent un verre en terrasse, où Marie dévoila entièrement ses cuisses et un peu plus à un homme seul placé dans un parfait alignement.
- Attends un peu ! tu vas voir ce que je suis capable de faire maintenant, même sans Marc !
Elle se leva, alla vers l'homme, se pencha vers lui. L'inconnu écouta, les yeux penchés dans le décollété vertigineux de la belle brune qui ne lui proposait ni plus ni moins que de la sauter dans les toilettes !
 
Sa petite soeur resta coite lorsqu'elle compris.
Sur le chemin du retour à l'appartement, Marie lui raconta dans les détails ce qu'elle avait fait : sucer sans capote assise sur la cuvette des chiottes l'inconnu debout, se faire sauter ensuite, l'homme voyant qu'elle avait le cul pluggé et portant des anneaux
intimes fut encore plus excité, la pilonnant avec encore plus de force et de désir. Marie jouit fortement, sans honte d'être devenue complétement salope...
 
Arrivées, il y avait une message téléphonique laissé par Katia :
 
- "Bonjour les deux soeurs ! C'est Katia, J'ai eu le numéro par Marc, Je suis seule ce soir, je voudrais bien te voir Florence pour savoir si tu es vraiment intéressée pour venir passer un peu de vacances chez nous, tu as déjà un joli accent en allemand, il faudrait le perfectionner...Et on repart dans deux jours, je te
laisse mon numéro de portable !"
 
Marie se dit en son for intérieur qu'il n'y a pas que l'allemand que Katia voudrait lui faire perfectionner !
 
Elle entendit sa soeur faire le numéro, et progressivement changer de ton au rythme de ses "oui" prononcés.
 
Après avoir raccroché, elle dit à Marie qu'elle avait rendez-vous avec Katia le soir à 19h30, dans une heure, pour discuter en dinant.
- Où ca ? Je peux t'indiquer où c'est !
- Ca va Katia vient me chercher en bas !
Hésitante, elle poursuivit.
-...Eeuh...elle m'a demandé...si... si je pouvais être aussi mignonne qu'hier soir...plus mignonne encore...
Marie sourit.
- Ah bon ? Je croyais que ca ne t'avais pas plu, que tu avais eu honte !
- C'était la fin ! Me faire sauter par plein d'inconnus, j'ai pas l'habitude.
-Et ca veut dire quoi "encore plus mignonne" ?
- ... Euh...je ne sais pas...tu peux m'aider ?
- Attention, je vais te transformer en petite cochonne, une petite cochonne de 16 ans comme tu aimes à rappeler ton âge !
- Tu sais, toi tu n'as qu'à peine 20 ans !
- Ouais, en attendant viens avec moi dans la chambre !
 
Florence se mit nue ...près de la fenêtre, soutenant le regard amusé de sa soeur.
 
Un heure après, elle descendit les marches...difficilement car Marie lui avait donné ses cuissardes de 15 cm de haut. Ses jambes nues étaient pratiquement dévoilées jusqu'à ses fesses recouvertes d'une mini jupe de cuir noir. Elle avait le même haut décolleté de la veille. Ses longs cheveux étaient en chignon. La différence avec la
veille était qu'elle n'avait pas de long manteau pour couvrir son corps exposé ! Elle faisait pute !Tout à fait l'attitude qu'elle avait dénonçé toute la journée mais elle sentait son sexe de plus en plus humide ! elle devenait folle ! il fallait l'être pour sortir ainsi dans cette douce soirée de juin !
 
Katia l'attendait au volant d'une puissante berline. elle lui ouvrit la portière. Florence vit qu'elle était toute de cuir noir vêtue.
- tu es superbe ! lui dit-elle en allemand.
- Danke ! répondit la jeune ado en s'asseyant les cuisses complétement à l'air, dévoilant son pubis fourni.
Ne perdant rien, l'allemande lui dit gentiment :
- Il faudrait rafraichir tout cela, raser tout cela tu ne crois pas ?
- Oui, comme vous voulez ! tout ce que vous voulez !
Florence l'avait vouvoyé. Elle trouvait cela normal, elle était plus vieille que sa mère.
- Tout ce que je veux ? Attention je pourrais vouloir beaucoup, je pourrais vouloir raser tout cela ! Qu'en penses-tu ?
Florence eut des frissons lorsque Katia passa sa main droite dans ses longs cheveux ...
- Allons diner ! On auras tout le temps de parler !
 
Florence était troublée par sa "proposition" ; elle était plus que troublée par cette femme qui l'emmenait diner au restaurant. elle fut encore plus troublée lorsqu'elle vit qu'elles allaient dans un restaurant "normal" et qu'elle était habillée de manière plutot indécente, c'est le moins qu'on puisse dire. elle croyait retourner dans un lieu comme celui de la veille mais elle allait rentrer dans un restaurant habillée comme une pute avec une femme toute en cuir moulant, juchée sur des talons presque aussi hauts qu'elle -comment pouvait-elle conduire ?- mais faisant penser à une implacable dominatrice.
 
Qu'allait-il se passer ?
 
Pendant ce temps, Marie s'était mise au lit avec un des livres de son amant qu'elle tenait d'une main ...et de l'autre s'enfonçait un gros godemichet dans son vagin .... et elle pensait à sa petite soeur...

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille
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