Dimanche 17 avril 7 17 /04 /Avr 18:58

Chapitre 11

 

Une semaine après avoir proposé à sa mère de venir à Paris, Marie lui téléphona pour préciser son invitation chez Marc.
 
Trois jours après, elle vint de sa ville de grande banlieue parisienne.
- Tu es prête Marie ? interrogea Marc.
- Oui Maître ! répondit-elle en apparaissant dans le couloir.
- Alors en position, petite salope ! Va ouvrir !
 
Elle ouvrit la porte et vit sa mère qui se figea.
- Bonjour Maman !
- Tu es folle ma fille ! répondit sa mère en entrant dans le large vestibule.
Il est vrai que Marie, sous les ordres de son amant, avait décidé de provoquer sa mère en se présentant nue devant elle !
Nue ? Pas tout à fait, car elle était juchée sur escarpins aux talons de 18cm inmmettables à l'extérieur, portait des bracelets cloutés aux chevilles et aux poignets. Elle avait des poids à ses anneaux génitaux qui faisaient pendre ses lèvres, une chaîne reliait ses anneaux de seins au collier de chien(nne?) qui ne la quittait jamais. Elle portait en outre une ceinture cloutée reliée à deux gros phallus de caoutchouc lui remplissant le ventre et les fesses.
Sa mère pouvait voir aussi les striures rouges récentes lui balafrant la poitrine, les cuisses et les fesses !
Maquillée comme une prostituée, elle proposa à sa mère de s'assoir dans un des confortables fauteuils de cuir.
- Marc va arriver ! dit-elle en restant debout.
- Tu es folle...mais ... tu es quand même bien jolie !
- Merci, même comme ca ? répondit Marie.
Sa mère allait répondre lorsque Marc pénétra dans la pièce.
- Bonjour Madame ! Non, restez assise, Marie ne m'avait fait que des compliments sur vous et je vois qu'elle avait bien raison !
- Moi je n'ai pas de compliment à vous faire ! Qu'avez-vous fait à ma fille, à mes filles ?
- Je l'ai simplement rendue heureuse, je lui ai fait développer ses fantasmes de soumission bien cachés, et nous irons de plus en plus loin ... comme votre autre fille, Florence, avec son maître, ses maîtres qui sont beaucoup, beaucoup, plus sévères et exigeants que moi avec cette cochonne !
- vous êtes fous !
- Non ! Nous vivons pour le plaisir, votre fille adore cela, elle aime obéir, elle est faite pour ca. Si je lui ordonne de me sucer devant vous elle n'hésitera pas une seconde, vous voulez voir ?
La mère de Marie, enervée et troublée détourna brutalement la tête en croisant ses jambes, décontenancée par l'obscénité des propos.
- J'ai recu d'ailleurs une cassette sur Florence il y a trois jours, voulez-vous la voir après le repas ; je vous préviens c'est assez dur ...ou excitant, cela dépend ! poursuivit Marc en la regardant dans les yeux.
Elle répondit par l'affirmative en demandant où était précisément sa fille cadette.
- Elle est toujours en Bavière où nos amis se chargent de la rendre définitivement perverse et complétement soumise.
Sa mère baissa la tête, de plus en plus troublée.
 
Pendant que Marc alla préparer le repas, Marie montra sa garde-robe à sa mère en restant nue, harnachée et engodée.
- Tu n'as vraiment que des affaires de pute !
- C'est normal, je suis une pute ! Une belle pute même ! répondit Marie voulant provoquer sa mère.
- De ce côté là, c'est vrai, je ne t'ai pas loupée, ton corps est superbe !
- tu es pareille Maman, même avec tes vingt ans de plus, on a la même taille, la même corpulence, je suis certaine que mes affaires t'iraient très bien ! Tu veux me faire plaisir, essaie-en une, Maman, s'il te plait !
- Quoi ? Tu veux que je me déguise en pute ? Tu es folle Marie !
- S'il te plait Maman, s'il te plait !
Celle-ci, toutefois, continuait de fouiller dans les habits et sortit une courte, très courte robe en latex noir hypermoulante et décolletée dans le dos jusqu'à la naissance des fesses.
- Oui Maman, celle-ci, essaie-là !
Sans répondre, tremblante, sa mère déboutonna et ota son chemisier, puis elle fit tomber sa jupe bien sage à ses pieds, et demeura en sous vêtements, hésitante.
- Allez Maman, cette robe se met sans soutien-gorge évidemment !
-elle dégrafa celui-ci et présenta au regard de sa fille une belle et lourde poitrine que l'âge n'affaissait pas.
- Tu es vraiment belle Maman, tes seins sont beaux, tu devrais les montrer plus souvent !
- Je ne suis pas tout à fait sûre que ca plairait à ton père !
_ Oh, tu sais, l'autre jour;, il était complétement hypnotisé par les miens, tu n'as pas remarqué ?
Sa mère ne répondit pas, et prenant la robe en latex l'enfila par les jambes.
Elle eut du mal à l'ajuster sur ses seins parfaitement moulés et sur ses hanches mises en valeur.
- Maman, on voit, on les marques de ta culotte, enlève-la !
- Mais tu as vu la longueur de cette robe ?
- Oui, elle t'arrive juste à la pliure de tes fesses, mais avec les marques de ton slip cela ne fait pas beau.
En se tortillant, sa mère fit glisser son slip et retendit la robe moulante, sans aller bien loin.
- Et tu oses sortir avec ca !
- Emballée, Marie dit à sa mère qu'elle était superbe.
- Tes jambes et tes cuisses sont magnifiques ! Attends, je vais te passer des chaussures.
A genou devant elle, elle l'aida à mettre des escarpins de 10cm de talon, essayant de rester insensible au fait que le sexe poilu de sa mère n'était caché que par 3 ou 4cm de latex ! Elle aurait presque pû jurer y voir de la mouille perler ...
Sa mère serait-elle finalement excitée par cet essayage ?
Celle-ci ne disant rien, Marie la coiffa et la maquilla, puis lui mit, toujours sans objection, des bracelets cloutés semblables aux siens.
Se relevant, sa mère, interdite, pouvait voir les pointes des seins perçés de sa fille fiérement dressées d'excitation devant sa transformation.
Elle la laissa lui mettre un épais collier de cuir autour du cou.
A ce moment, elles entendirent Marc dire que le repas était prêt.
Avant que sa mère puisse dire quelque chose, Marie lui demanda de venir manger dans sa tenue de latex.
- Comment ? ca ne va pas ? Tu veux que ...Marc...ton ...Maître comme
tu l'appelles, me voit ainsi vêtue ?
Marie, sentant que sa mère était troublée lui dit que oui.
- Oui Maman, cette robe te va très bien, ta grosse poitrine est bien moulée et tes hauts talons font que tu es bien cambrée avec tes cuisses bien à l'air et ...
- Marie ! je suis ta mère, ne l'oublie pas ! la coupa-t-elle !
- Je sais Maman, mais aujourd'hui je te vois plus comme une femme, une belle femme, épanouie, qui a un corps excitant, ...qui m'excite ! finit-elle en chuchotant au creux de l'oreille de sa mère, tout en esquissant une caresse sur les fesses à peine cachée !
- Marie ! je t'en prie...arrête !
- Je sais que ça t'excite aussi. Cela va plaire à Marc et sa queue va devenir bien dure en te voyant !
- Arrête Marie, je suis ta mère, et n'oublie pas ton père !
- Papa ? La dernière fois il était figé devant mes seins annelés, et la prochaine fois, je te promets que je lui laisserai une belle vue
sur mon sexe épilé avec les autres anneaux, et que je mouillerai abondamment en le regardant dans les yeux !
- Tu es complètement folle !
- non Maman, je suis une salope soumise c'est tout, Marc m'a bien fait comprendre tout cela, toutes ces années de refoulement, et bien en plus il veut que je connaisse la bite de mon père dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul !
- Arrête ! arrête de dire ces horreurs !
- D'accord, mais viens maintenant ! dit Marie en prenant sa mère gentiment par le bras.
- Maître ! j'ai une surprise, un belle surprise ! dit elle en
entrant dans la salle à manger.
Marc, assis, vit entrer Marie et sa mère, la première toujours quasiment nue et la seconde habillée comme une pute de haut de gamme.
- Superbe ! ainsi parée vous me faites penser à votre fille, les cheveux en plus !
- J'ai honte ! répondit-elle
- Honte de quoi ? poursuivit-il en se levant pour s'approcher et tourner autour d'elle.
- le latex vous va très bien, il moule bien vos gros seins, vos fesses. si j'étais votre mari, je vous interdirais des robes ou jupes plus longues ...mais s'il vous voyait ainsi, peut-être que c'est lui qui le dirait ?
Elle lui répondit qu'elle et son mari étaient normaux et qu'ils n'étaient pas des pervers !
- Normaux , qu'est-ce que cela veut dire ? Pervers ? on le devient vite retorqua Marc en la fixant du regard.
- Vous pourriez devenir très perverse très rapidement, vous en doutez ? La facilité avec laquelle vous avez accepté de revêtir cette tenue le montre bien. Vous savez que vos tétons bien dressés sont bien visibles, et je suis sûr que votre bas-ventre ne reste pas
insensible ! Vous ne voulez pas relever le peu de tissu qui le cache pour nous montrer votre toison certainement bien humide ?
- vous êtes odieux ! dit-elle, cramoisie.
- Et vous, bien troublée, avouez-le ! Bon arrêtons-là et allons nous sustenter !
Légèrement soulagée, la mère de Marie, qui s'appelle Brigitte, s'asseya, et sentit bien son sexe trempé d'excitation honteuse. Il était d'ailleurs presque à sa vue car sa robe était évidemment remontée. Seule Marie, sa fille, qui faisait le service pouvait s'en apercevoir, et elle ne se gênait pas pour reluquer le ventre maternel.
La discussion apprit à Marc que Brigitte était professeur pour des BTS, ce qui l'intéressa fortement, surtout lorsqu'il apprit qu'elle était nommée dans un nouvel établissement !
Le reste, c'est elle qui en apprit sur sa fille et sur l'évolution de sa soumission. Marc ne cacha encore une fois rien, et Marie souriait lorsqu'elle se tournait, interloquée, vers elle. elle ne savait que penser, mais sentait sa mouille couler de son vagin !
 
Plus tard, Brigitte prétexta le temps qui passe pour prendre congé, plus que troublée. Marie, toujours nue ou presque et toujours provocante voulut que sa mère parte avec sa robe de latex sur elle pour qu'ele se rende compte des sensations qu'elle pourrait avoir .
Silencieuse, sa mère se contenta fébrilement de remettre ses affaires plus chastes ...
Avant de partir, Marc lui tendit une cassette vidéo.
- Tenez, vous la regarderez tranquillement chez vous, vous verrez ce que Florence fait, volontairement, presque sans contrainte ...

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille
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