Marie et sa famille

Samedi 9 juillet 6 09 /07 /Juil 18:51
Chapitre 13
  

Deux jours après, le téléphone sonna chez Marc.
- Allo ?
- Bonjour, …C’est Brigitte…
- Ah ! Bonjour belle-maman, comment allez-vous ?
- Euh … bien, je pourrais vous voir ?
- Bien sûr ! Que pensez-vous de cet après midi, vers seize heures ? Je passe vous prendre ?
- …D’accord ; ….euh….comment voulez-vous me voir vêtue ?
Elle finit cette phrase dificilement.
- Vêtue ou dévêtue ? lui répondit ironiquement Marc.
- ...
- Vous ne dites plus rien belle maman ?
- ….vous me troublez ….
- Très bien, très bien, et bien soyez comme la vieille salope que vous êtes !
- Vous êtes ignoble !
- Mais ca vous excite, avouez-le ! Comment ca s’est passé avec votre mari ?
- Je vous en parlerai cet après midi !
 
Et elle raccrocha.
 
Marc sonna à la porte  et attendit la mère de Marie.
Celle-ci arriva, hésitante sur ses nouveaux escarpins de 12cm. Le reste du corps était caché par un léger mais long manteau. Marc vit qu’elle s’était fortement maquillée.
 
- Pas mal ! lui dit-il.  
- Ouvrez votre manteau s’il vous plait.
 
En le regardant, Brigitte ouvrit son manteau, lui montrant sa sensuelle tenue. Elle avait en effet revêtu sa nouvelle robe en cuir qui, en plus de mouler ses formes de femme mûre dévoilait plus qu’à moitié son opulente poitrine. S’arrêtant à peine plus bas que la pliure de ses fesses, ses jambes étaient encore plus mises en valeur par des bas résilles remontant juste à la limite de son indécente robe …
 
- C’est bien, mais votre manteau cache tout ! allez mettre quelque chose de plus court pour qu’on puisse profiter de vos belles jambes !
- Mais … Je ne peux pas … De quoi vais-je avoir l’air ?  
- De quoi ? Mais d’une belle salope, belle maman ! D’une belle pute, d’une belle femme qui veut mettre son corps en valeur, allez, ne discutez plus et profitez-en pour mettre votre collier clouté !
 
Brigitte se tut et rentra, obéissante.
 
Quelques minutes plus tard, elle ouvrit à nouveau sa porte, n’osant pas la franchir.
- J’ai honte. Dit-elle en se montrant à Marc les jambes dénudées, sa courte veste étant plus courte que la robe.
- Pourquoi ? répondit ce dernier en ouvrant les deux premiers boutons de la veste pour bien mettre en valeur son collier clouté.
- - Qu’est-ce que ça sera quand vous aurez la boule à zéro et un bel anneau au bout du nez !!!
 
Brigitte ne répondit rien et suivit Marc dans la rue. Elle était dans son quartier et croisa quelques personnes qui la connaissaient plus ou moins. Elle se demandait ce qu’elles pouvaient penser d’elle. Elle remarqua aussi qu’elles regardaient ses jambes et cuisses dénudées sur ses très hauts talons, son collier clouté autour de son cou. Sa réputation de bourgeoise BCBG allait en prendre un coup. Curieusement sa honte se transforma en quelques minutes en une forme d’excitation ….
 
Marc la coupa dans ses rêveries en la faisant rentrer dans sa voiture. Auparavant, il lui demanda d’ôter sa veste. Elle ne dit rien, le regarda, et lentement, très lentement ôta son vêtement en montrant aux quelques passants son corps de femme épanouie, ses gros seins en avant. Elle n’avait plus honte de sa robe de pute et était excitée de se montrer ainsi, elle devenait folle …
 
- Où allons-nous ?
- Poursuivre votre éducation de salope ma chère belle-maman ! Mais racontez-moi la réaction de votre mari !
 
Brigitte raconta la surprise de son mari lorsqu’elle lui présenta ses achats. Plus qu’excité, il l’encouragea dans cette nouvelle voie et d’aller toujours pus loin avec Marc ou d’autres. Il lui expliqua qu’il n’avait jamais voulu lui imposer ce type de relation et de vie mais qu’il avait toujours eu ce fantasme bien caché en lui. Il voulait la voir bientôt comme leurs filles, tondue et perçée, en allant encore plus loin …
 
- Et bien ! Il est bien votre mari, quand est-ce que vous me le présentez ?
- Justement, il vous invite avec Marie après demain.
- Très bien.
 
Il l’emmena à Pigalle ; même en ayant beaucoup perdu, le quartier gardait un mélange de voyeurs et de touristes assez surréaliste par moment. Se garant rapidement, chose rare, Marc lui demanda de laisser sa veste dans la voiture ; Brigitte obéit et fit la joie ou la surprise des nombreux passants en marchant aux côtés de l’amant de sa fille. Elle se sentait rougissante.
 
- Cela vous excite de vous montrer comme cela belle maman ?
- Non ! J’ai honte ! bredouilla-t-elle.
 
Il l’entraîna dans l’un des nombreux sex shops du quartier.
Cramoisie, elle le vit s’intéresser aux gods, double gods même, à des plugs.
 
- Il va falloir que vous preniez l’habitude d’en porter chez vous … et à l’extérieur.
- Vous n’y pensez pas, ils sont bien trop gros ! protesta-t-elle d’une petite voix.
- Mais non, votre vagin et votre anus sont capables de beaucoup de choses vous savez ? rajouta-t-il, ironique.
 
Devant le vendeur narquois et concupiscent, il lui fit choisir deux gods simples et un double ; il ajouta un chapelet de boules de geisha.
L’emmenant dans les allées,  il lui montra les cassettes et dvd les plus audacieux et scabreux.
 
Brigitte était de plus en plus troublée … et sentait sa chatte s’humidifier. Elle n’osa pas le dire à Marc.
Elle baissait la tête devant les quelques clients du sex shop. Sa tenue provocante la faisait passer pour ce qu’elle avait critiqué pendant des années !
A 40 ans, elle se rendait compte que tout cela lui faisait de l’effet ! Elle espérait presque que Marc l’oblige à aller plus loin, là, dans ce sex shop !
 
Il n’en fut rien.
 
Ils sortirent, poitrine en avant pour Brigitte dont les tétons érigés pointaient sous le fin cuir. Malgré tout, elle avait du mal à lever la tête pour supporter les regards sur elle. Elle appréhendait le moment où elle croiserait du monde de connaissance. Elle se demandait aussi comment se passerait la rentrée scolaire dans quelques semaines si son initiation au vice et à l’exhibition se poursuivait …
Marc l’interrompit dans se interrogations.
 
- Bientôt, dans un sex shop comme celui où on était vous sucerez les clients, qu’ils soient deux ou quinze ! vous aimerez ça ! vous vous ferez aussi pénétrer, par les deux côtés !  
 
Brigitte, estomaquée, répondit qu’elle ne pourra jamais, qu’elle ne pourra jamais descendre si bas !
 
- Je dois reconnaître … que j’aime mon corps,….mais aller plus loin …
- Ce sera avec moi ou avec votre mari, peut être tous les deux. Avec Marie vous formerez un duo parfait, et je n’oublie pas Florence !
 
Brigitte ne répondit rien, perdue, complètement perdue, observant sa silhouette dans une vitre ; elle se sentait belle, elle ruisselait ….
 
Marc la ramena chez elle. Elle sortit de la voiture sa veste à la main, exposant ses cuisses et son buste aux regards des passants.
 
 
Il lui dit à après demain en l’embrassant sur la bouche et en lui mettant la main aux fesses ! Si des voisins la voyait !
 
Elle courut comme elle pu, trébuchante sur ses talons démesurés.

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille
Samedi 9 juillet 6 09 /07 /Juil 18:45

Chapitre 12

 

Le lendemain de la venue de Brigitte, Marc reçu un appel téléphonique ...
- Allo ? Bonjour Brigitte, comment allez-vous ?
Elle répondit d'une voix troublée et gênée.
- Comment ...comment avez-vous pu ?
- Comment a-t-elle pu ! corrigea Marc.  
- votre fille est devenue une belle salope, une superbe soumise et j'espère que Marie prendra rapidement le même chemin, mais c'est en bonne voie comme vous avez pu le voir hier !
Brigitte raconta ce qu'elle avait vu, sa fille tondue, percée de partout comme sa grande soeur, ses seins hypertrophiés qui lui donnaient une silhouette plus que provocante, le tatouage SLAVE sur son pubis épilé, les marques d'appartenance sur ses fesses imprimées au fer rouge ! Les rares images où Florence était habillée elle était vêtue comme une pute des bas-quartiers. Elle l'a vit ainsi être prostituée en différents endroits, en plein air. Elle l'a vit baisée, sodomisée, sucer, des hommes comme des femmes, être prise par ses trois orifices en même temps, avaler de l'urine, et même à deux ocasions des défecations ! Elle l'a vit être prise par des chiens, elle en suça aussi ! Le fouet et la cravache s'abattaient régulièrement sur l'ensemble de son corps. Humiliée et avile en permanence, elle semblait pourtant prendre du plaisir à toutes ces turpitudes alors qu'elle venait d'avoir seulement 17 ans !
 
- Votre mari a vu la cassette ?
Après un silence Brigitte répondit par l'affirmative.
- Qu'en a -t-il pensé ?
Elle ne répondit pas clairement et dit simplement qu'elle aimerait bien le voir.
- Pourquoi ? interrogea perfidement Marc.
Brigitte, bafouillante, avoua que son mari avait été particulièrement excité en voyant l'avilissement de sa propre fille, et qu'elle voulait lui faire une surprise.
- Quel genre de surprise ?  
Hésitante, Brigitte répondit q'elle pensait à une surprise d'ordre vestimentaire, mais qu'elle avait besoin de conseils.
Marc lui donna rendez-vous le lendemain à un angle de rue près de Pigalle.
 
Brigitte fut ponctuelle au rendez-vous.
- Bonjour ! fit-elle.
- Bonjour chère Madame ! répondit Marc d'un ton railleur en détaillant la chaste tenue de la mère de Marie.
Celle-ci portait une jupe lui arrivant aux mollets et un chemisier classique.
S'apercevant de la moue de Marc, elle lui dit mi-sérieusement, mi-ironiquement :
- Oui, je sais, ma robe est trop longue pour vous, mon corsage pas assez décolleté, pas du tout d'ailleurs ! mais je n'ai rien qui m'arrive au raz de fesses !
- nous allons y remédier ! répondit sêchement Marc.
- En attendant, poursuivit-il, il fait chaud, deboutonnez-moi un peu votre corsage ; vous avez un soutien gorge ?
- Bien sûr ! dit brigitte en commencant à déboutonner le premier bouton de son chaste chemisier.
Marc l'avait emmené dans une rue peu passante.  
- continuez !lorsqu'il l'a vit s'arrêter à trois boutons ôtés.
- ... Mais ?
- Il n'y a pas de mais ! Continuez même si on voit votre soutien gorge, d'ailleurs vous allez l'enlever ! finit-il en l'entrainant sous un porche désert.
- Allez ! vous en avez pour 10 secondes !
Brigitte, figée, le regarda dans les yeux, puis, lentement, finit de déboutonner complêtement son chemisier, l'ota en le tendant à Marc.
Toujours lentement, elle dégrafa son soutien gorge et le tendit aussi à l'amant de sa fille Marie. Les mains sur les hanches, ses gros seins en avant, et fixant toujours Marc dans les yeux, elle lui dit :
- Et maintenant ?
En s'approchant, il effleura un des mamelons tendus en lui demandant si elle portait une culotte.
- Je ne suis pas comme mes filles, je n'ai pas l'habitude de me promener les fesses à l'air ! répondit-elle, provocante.
- Vous y viendrez vite, vous verrez ! Et d'ailleurs vous allez commencer aujourd'hui ! Otez votre culotte !
Toujours sous un porche où n'importe qui pourrait surgir, comme si elle n'attendait que cet ordre, elle se baissa, ses gros seins pendants, et enleva son sous-vêtement tout en fixant toujours son tourmenteur.
Le tendant à ce dernier, elle ajouta :
- Vous voulez ma jupe maintenant ? Vous aurez le plaisir de me voir nue en pleine rue !
- Non chère belle-maman ! J'aurais ce plaisir une autre fois, mais c'est bien, vous obéissez, vous êtes aussi soumise que vos salopes de filles ! Vous vous rendez compte que personne n'est passé, personne qui aurait pu admirer vos splendides mamelles !
- C'est vraiment dommage, répondit-elle ironiquement, ils auraient eu le plaisir de voir une vieille de 40 ans pratiquement à poil, super !
- Ne vous rabaissez pas, vous êtes splendide avec gros seins ; je vous imagine très bien avec de beaux anneaux aux mamelons !
- Vous pensez vraiment que j'accepterais de me faire percer comme mes filles ? Vous êtes fou !
- Vous y viendrez car ça vous excite ! Le ver est dans le fruit !
Même à votre âge ! Remettez votre chemisier mais boutonnez-le simplement jusqu'au nombril !
Brigitte ne répondit rien et le fit.
 
Marc la prit par la main et l'entraina dans une rue plus passante.
Sa grosse poitrine ballottante et à demi visible attirait les
regards.
- J'ai honte !
- J'espère bien ! je veux que votre honte vous excite, vous amène de plus en plus loin ! Etes-vous excitée ?
- Vous ... vous ...êtes ignoble !
- Ah ah ah ! quelle réponse !Je suis certain que vous obéiriez si je vous demandais de laisser complêtement ouvert votre chemisier et de montrer votre belle poitrine à tout le monde !
- Vous exagerez ! Vous me prenez pour qui ? Ce n'est pas parce que ... parce que j'ai accepté certaines de vos exigences que je vais tout accepter !
- Vous verrez, bientôt vous montrerez tout, en haut comme en bas et en détail, tout !
- Ah oui ? rasée, tondue et perçée partout pendant qu'on y est ? lui répondit-elle les yeux dans les yeux.
- Si vous le voulez, belle maman ! Si vous le voulez, et si le veut aussi votre mari qui m'a apparemment paru bien intéressé par la vidéo sur Florence !
Rougissante, ele ne répondit rien, mais sentait ses tétons érigés contre son corsage...et son vagin trempé ! Elle s'imaginait avec de gros anneaux aux seins et un peu partout sur le corps, elle s'imaginait tenue en laisse ...
- Nous y voilà ! lui annonca Marc en la coupant dans ses rêveries.
- Allons changer votre look et faire de vous ce qu'au fond vous avez envie d'être : une bonne et belle salope !
Silencieuse, elle pénétra dans cette enseigne de vêtements spécialisée dans les tenues prisées par les prostituées de la capitale et les femmes libertines.
 
Une heure plus tard, ils ressortaient chargés de paquets. Même si elle était habillée comme elle était rentrée, Brigitte était encore cramoisie par les essayages qu'elle avait fait. La vendeuse complice de Marc, vit qu'elle était nue sous ses vêtements. Elle imaginait déjà la tête de son mari lorqu'il la verrait dans l'une de ses tenues fétichistes qu'elle avait acheté !
En effet, et en ne se gênant pas pour la caresser, et ce devant la vendeuse, Marc lui avait indiqué l'achat de deux robes s'arrêtant au raz des fesses, l'une en cuir, l'autre en coton, bien décolletées.
Elle acheta aussi un boléro, plusieurs culottes fendues -les seules qui lui seraient autorisées- des soutiens gorges laissant ses seins nus et un percé pour les tétons. elle n'oublia pas deux porte jarretelles dont un en cuir, plusieurs bas à résilles et un collant résille lui recouvrant tout le coprs sauf son sexe et ses seins !
Il lui fit aussi acheter deux paires de chaussures au talons de 10 et de12cm -pour commencer ! L'humiliation la plus forte fut au moment où Marc lui fit essayer un collier autour du cou !
 
La ramenant chez elle en voiture, laissant nonchalamment sa main sur la cuisse dénudée de la mère de sa soumise sans aller plus loin, il lui demanda de l'appeler après la surprise faite à son mari.
Il l'embrassa sur la bouche, elle ne se déroba pas offrant elle aussi sa langue ! Devant chez elle ! A la vue de gens qui la connaissait comme une femme mariée et respectable ! se douteraient-ils qu'elle n'avait pas de culotte et que son sexe ruisselait .

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille

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