Marie et sa famille

Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 19:48

Chapitre 5
  
- Bonjour Marie !
C'est Brigitte qui l'accueillit en l'embrassant sur la bouche. Marie lui rendit le baiser en lui donnant sa langue. Marc fit de même.
- Pendant que je la prépare, tu peux peut aller voir Hervé.
- Bien, tu en as pour combien de temps ?
- A peu près une demi heure ... si on ne fait pas de bétises ! dit-elle d'un air mutin !
Marc laissa les deux femmes.
- A poil ! Je vais te faire un minou vraiment tout lisse, tu verras, ca va te changer beaucoup de sensations.
Marie rougit et suivit Brigitte dans une autre pièce.
 
Une heure plus tard, celles-ci rentrèrent dans le bureau d'Hervé.
 
- Enfin ! Ce n'est pas trop tôt ! On commencait à s'impatienter ! dit ce dernier en voyant arriver sa femme tenant en laisse par son  collier la pauvre Marie complétement nue à quatre pattes !
- Cette petite a décidément une langue pas possible et je me suis fait faire une petite gaterie ! minauda-t-elle
- Je m'en doutais ! Je l'avais dit à Marc que tu n'aurais pas pû t'empêcher !
- elle est tellement appétissante !
 
- Bon, on va passer aux choses sérieuses !
Ils la firent s'allonger sur une table médicale, en profitèrent pour regarder ce sexe dorénavant lisse.
Marie ressentit une petite douleur lorsqu'Hervé lui perca les lèvres pendant que son amant lui caressait le crâne en lui souriant.
Il lui mit des petits anneaux provisoires, le temps de la cicatrisation pour ne pas prendre de risques.
- Revenez dans cinq jours, on lui placera ses anneaux définitifs !
Avant de partir Marie lui fit une pipe et elle avala tout comme Marc lui avait donné dorénavant l'habitude.
 
En rentrant chez elle, elle ressentait le frottement de ses anneaux provisoires et se demandait quelles sensations elle allait avoir avec des anneaux plus massifs et pesants...
 
Pendant ces jours, Marc laissa tranquille son vagin mais se rattrapa largement par sa bouche et surtout son anus. Quotidiennement sodomisée, il l'obligea à garder quasiment tout le temps un plug bien enfoncé dans son cul. Elle alla passer un examen écrit ainsi garnie, bien retenu par une lanière autour de ses reins. Depuis quelque temps ses tenues retenaient l'oeil égrillard des étudiants et les grimaces de la plupart des étudiantes ; plusieurs fois elle avait entendu les mots "salope" ou "pute" dans son dos, mais elle s'en fichait. Elle n'avait pas d'amis ici, de simples connaissances, sans plus. Toutefois, elle s'interrogea quand même sur la tenue que son amant voulait qu'elle mette pour aller passer un oral.
 
- Tu ne crois pas que c'est trop ? Je vais passer pour qui ?
- Oh ? tu sais, je crois que ta réputation est déjà faite ma chérie !
- Peut-être, mais là c'est un oral ! Ca va jaser !
- Et bien qu'ils jasent !
 
Marie, soumise, alla passer cet oral juchée sur de nouvelles cuissardes aux talons de quinze cm, les cuisses nues avec une mini jupe en cuir évasée lui couvrant tout juste les fesses engodées par
un phallus de 5cm de diamètre. En haut un chemisier sans manches avec un décolleté laissant plus de la moitié de ses gros seins nus, presque aux auréoles. Elle aurait fait bandé un mort !
 
Quelques jours après,ils retournèrent chez leur ami médecin, toujours aussi provocante, toujours aussi engodée !
 
Marie se prêta à tout ; elle vit la pose de ses nouveaux anneaux, Marc les lui fit soupeser, les trouva gros et lourds. Un peu plus tard elle ressortait, sentant leur poids un peu étirer ses lèvres.
Marc, la tenant par la main, jubilait ; Les gens qu'ils croisaient voyaient sa compagne vêtue de manière plus que sexy mais ne pouvaient se douter qu'elle avait un god enfoncé dans le cul et des anneaux de 3cm dorénavant accrochés à ses chairs les plus intimes !
 
Ils avaient rendez-vous le soir-même avec Brigitte et Hervé au restaurant.
Le soir venu, Marie fut un peu surprise -décue ?- de ne voir que le mari. Par contre il vint accompagné d'un autre homme, un peu plus agé.
- Ainsi c'est elle la petite Marie ?
Marc fit les présentations sans trop s'attarder.
Durant le repas dans ce restaurant assez réputé, Marie ne sut très vite quelle attitude adopter puisqu'on ne cessa de parler d'elle sans lui demander son avis. Rougissante, lorsque Marc encore une fois de plus devant un inconnu raconta sa vie privée et ses diverses exhibitions, tremblante lorsqu'ils parlèrent de ses futurs piercings, sur les différents types de tatouages qu'ils voulaient voir sur elle avec force de détails sur leurs tailles, leurs localisations, frémissante lorsque Marc évoqua de nouveau le projet de la tondre totalement. Mais là où elle fut la plus genée c'est lorsque la discussion revint sur sa soeur.
 
- Elle arrive après-demain ! dit Marc
- Pour combien de jours ? C'est bientôt les vacances ! s'exclama Hervé
- Justement on ne sait pas, Florence ne connaît pas Paris et sa soeur lui a proposé de profiter des vacances pour visiter la capitale.
- Tu pourras lui faire visiter le bois de Boulogne, il parait que tu connais bien maintenant!
C'était le nouveau qui fit rire les deux autres ; Marie consentit à sourire et demanda pourquoi ils s'intéressaient tant à une gamine de seize ans !
 
- Parce qu'elle est de ta famille et on voudrait savoir si elle est aussi salope que toi ma petite chérie ! lui dit Marc, assis à côté d'elle, en lui caressant la joue d'une main et plongeant l'autre entre les cuisses largement dévoilée de sa compagne.
Marie, instinctivement, écarta celles-ci, laissant la main de Marc jouer avec les anneaux !
- Ca l'excite on dirait !
 
Marie se laissait caresser devant les deux autres, leur table étant un peu cachée ; on voyait ses tétons s'ériger au rythme de la masturbation exercée.
 
- Arrête s'il te plait ! On est en plein restaurant !
- Et alors ? Tu veux passer sous la table ?
Ne sachant s'il était sérieux ou non, Marie se tût.
Il la fit jouir. Le repas prit fin, mais pas la soirée.
 
Les trois hommes se mirent d'accord pour emmener Marie dans un club privé de leur connaissance. En sortant de la voiture, Marc attacha une laisse au collier de sa maitresse ; là encore trois personnes la virent tenue comme une chienne, elle n'arrivait pas à vraiment s'y faire !
 
A peine arrivés, au vestiaire, ils la firent mettre nue excepté ses cuissardes et son collier et la firent rentrer dans l'antre ! Elle s'apercut très vite au décorum qu'ils l'avait emmené dans un boite spécialisée dans les jeux sado-masochistes. elle vit ici et là un homme se faire fouetter, une femmme au tétons annelés subir (?) le
même sort, une autre recevait de la cire de bougie sur le torse, plus loin une autre, aussi jeune qu'elle par l'apparence se faisait prendre par trois hommes en même temps. Elle se laissa faire lorsque Marc l'attacha à un portique les bras levés. Ses trois accompagnateurs s'assirent pour boire, contemplant le corps exposé de la jeune femme.
 
- Elle est vraiment très bien ! J'ai rarement vu une aussi grosse poitrine chez une jeune comme elle ! dit l'homme rencontré au restaurant.
- C'est de famille, je l'ai déjà dit ! quand tu vas voir sa soeur ...
- Et quand la fais-tu anneler aux seins ?
- Bientôt, je voulais la laisser se reposer après son baptême avec ceux de ses lèvres !
- Ah oui, ca lui va bien, tu lui mettras plus petit ou plus gros au clito ?
- J'hésite justement ; un peu plus gros serait bien pour la tirer avec la laisse vous ne croyez pas ?
 
Marie, malgré la musique, entendait presque tout ....et cela la faisait mouiller. elle avait toujours aimé les bijoux, en porter sur le corps l'excitait, c'était le percement qu'elle appréhendait !
 
 
Attachée, elle ne pouvait que subir les mains qui se portèrent sur elle par de parfaits inconnus qui ne génèrent pas pour lui pincer les tétons, jouer avec ses anneaux génitaux, introduire plusieurs doigts dans sa chatte dégoulinante, retirant et rentrant le god la pénetrant dans l'anus.
Hervé se levant après ce spectacle prit un martinet et commenca à strier de marques le corps de la jolie suppliciée ! Elle cria, excitant encore plus l'assemblée. Les coups s'abbatirent sur ses fesses, son dos et son buste, Marc refusant qu'on s'en prenne à ses cuisses, le temps n'étant pas encore venu pour qu'elle arbore de
jolies marques en dessous de ses affriolantes petites jupes.
 
Plus tard, ses trois hommes de la soirée la prirent ; cette fois-ci son vagin resservit après quelques jours de repos , elle sentit les verges écarter les lèvres et toucher ses anneaux ; elle en fut plus troublée encore. Puis elle crut que toute la boite la pénétra !
Epuisée, elle dû ensuite devant plusieurs personnes lécher les chaussures de ses trois amants.
- Allez ! Lêche-bien pour nous remercier de bien nous occuper de toi !
Marc se délectait de voir sa jeune maitresse à ses pieds, soumise comme il le voulait.
 
- Tu vas voir, ce club va bientôt être ta deuxième maison !
 
Les quatre repartirent, mais contrairement à ce que pensait Marie, ils ne rentrèrent pas directement, prenant la direction du Bois.
Marie, toujours nue dans la confortable voiture au vitres fumées car on ne lui avait rien donné en partant, se dit que la soirée n'était certainement pas terminée...
 
En effet, les quelques voyeurs encore présents à cette heure tardive eurent la chance de voir une très jeune femme descendre nue de la voiture, juchée sur des cuissardes effilées, percée au sexe, le corps strié de marques qui se voyaient quand même à la faible lueur des lampadaires, la volumineuse poitrine en avant. elle sembla encore plus imposante lorsque Marc l'obligea à marcher à quatre pattes avec ses cuissardes exposant encore mieux son anus toujours garni !
 
Plus tard, c'est encore à quatre pattes qu'elle dut monter les trois étages la ramenant chez elle ; ses pieds étaient en compote, les talons n'étant pas fait pour cela. Toute nue, elle avait peur de rencontrer un voisin comme l'autre fois, même si à près de quatre heures du mat c'était peu probable.
 
Un fois rentrés, Marc lui fit un bilan de la soirée.
- as-tu compté le nombre de bites qui ont fait ta connaissance ce soir ma petite chérie ? lui dit-il en la mettant sous la douche.
- J'en peux plus ! Une vingtaine à peu près !
- un peu plus ! Quatorze au club, et j'en ai compté neuf au bois !
C'est bien, vingt trois plus nous trois, ca fait vingt six pour la soirée !
- Vingt six queues en une soirée ? T'es en train de faire de moi une vraie pute !
- Peut-être, mais avoue que ca te plait !
Marie, le fixant dans les yeux avec un petit sourire, dut le reconnaître.
- Oui, j'aime le sexe ! Tu es en train de me faire connaître des sensations extraordinaires ; en plus avec ces anneaux....poursuivit-elle en jouant avec ...ca me fait tout drôle...
- alors vivement que tu aies ta collection complète !
Marie l'embrassa amoureusement. Avant de se coucher, ce fut elle qui l'entraina devant la fenêtre de la chambre, et les jambes écartées, les mains sur les carreaux s'ouvrit à lui !
- Viens mon chéri...viens mon ...maitre...prends-moi, déchire-moi devant la France entière, attendant la queue de son amant-maitre, elle titilla son clitoris, regardant d'un regard lubrique la rue en dessous et les fenêtres en face ! Ah ce qu'elle aurait aimé avoir de multiples spectateurs à ce moment, mais il était vraiment tard et leur accouplement se fit sans témoin.
Marc, excité par l'audace de Marie, voulu l'entrainer sur de prochains projets.
- Ferais-tu la même chose beaucoup plus tôt ?
- Oui...répondit-elle
- Et en plein jour ?
La chatte remplie par la queue coulissante de son amant et ses seins triturés, Marie délirait presque !
- oui, avec des anneaux à mes grosses doudounes, avec des anneaux partout, et tondue pour que tout le monde voie bien que je suis une petite salope !
- Et la fenêtre ouverte ?
- Ooouuuiiiii ! Et ca on peut le faire tout de suite !
Laissant un instant son clito, elle ouvrit la fenêtre en grand et s'accouda au rebord.
- Vas-y, enfonce moi ta queue encore plus profondément, t'es content ? J'm'en fous du monde !
Marc, plus qu'excité porta l'estocade.
- Et devant ta soeur ?
Un court instant silencieuse Marie enchaina.
- Oooouuuiiiii ! Tu le veux vraiment ? Et bien on le fera, elle sait bien que je ne suis plus vierge !
A cette réponse Marc éjacula dans sa jeune maîtresse !
 
Le lendemain matin, enfin vers midi, Marc se reveilla, sucé par Marie.
-Très bien ma chérie, très bonne initiative !
- Tu fais de moi une vraie nympho ! J'ai tout le temps envie d'une queue !
- J'espère bien ! J'espère bien ! Même de plusieurs ! Et aussi de belles petites chattes féminines.
- Je ne connais que celle de Brigitte !
- Bientôt tu en connaitras d'autres crois-moi ! Et celle de ta petite soeur tu en dis quoi ?
- Ca va pas ! Je veux bien qu'on fasse des choses devant elle, ca peut être rigolo mais faut pas exagérer !
- On verra, on verra, car quand tu es lançée ...
- Non, j'ai dit non !
- Bon, d'accord, elle arrive tout à l'heure par le train ?
- Oui, à 18h12 exactement !
- On a le temps ! Comment comptais-tu te fringuer ?
- Comme quand je vais voir les parents !
- C'est différent, on est à Paris, tu es chez toi, j'aimerais te voir autrement...
- Je m'en doutais un peu ! alors c'est mini, talons et nénés en vue si je comprends bien ?
- Oui ma chérie ! Ca n'a plus l'air de te gêner on dirait ?
 
Marie lui dit alors qu'avant de le connaître sa petite soeur lui disait souvent qu'elle ne savait pas s'habiller un peu sexy alors que de son côté elle le faisait depuis quasiment son entrée au collège !
- Tu me l'avais pas dit ma p'tite cochonne !
- Je n'osais pas, tu m'as libéré, je voudrais le montrer à Florence !
 
Marc avait vraiment hate de rencontrer la petite soeur !

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille
Jeudi 24 février 4 24 /02 /Fév 00:38

Chapitre 4
  
Durant plusieurs semaines Marie pu prendre conscience de sa féminité et de l'attirance qu'elle suscitait chez les hommes. Hésitante au début, elle prit très vite de l'assurance, audacieuse au grand plaisir de son amant.
Il est vrai que ses jambes étaient remarquablement bien mises en valeur par la légereté de ses robes ou jupes, sous n'importe qu'elle température. Elle se demandait toutefois comment elle allait faire durant l'hiver. Elle ne se demandait par contre plus comment marcher sur des talons de neuf ou dix cm, et avait désormais une démarche bien chaloupée qui faisait osciller ses gros seins la plupart du temps complétement libres sous des chemisiers ou débardeurs bien décolletés. Elle se fit plus draguée en ces quelques semaines que pendant toute sa vie passée !
- Je ne suis pas libre ! leur disait-elle le plus souvent en souriant.


S'ils savaient que sous ses mini jupes elle portait quasi systématiquement un godemichet introduit dans son sexe, "pour t'habituer à être remplie" lui avait dit son amant !
Au début elle avait eu peur de le faire glisser, mais cela allait.
 
De plus en plus souvent il l'attachait pour faire l'amour. Son collier ne la quittait quasiment plus, ce qui laissait occasionner certaines questions sur son style de vie avec ses tenues toutes en noir. Chez elle, plusieurs fois elle vit qu'on l'observait des fenêtres en face. Elle se disait que son collier, ses bas et hauts talons en disaient plus que la nudité complète.
 
Un soir, il lui annonca la visite d'amis à lui et lui demanda de mettre ce qu'il avait préparé pour elle sur le lit de la chambre.
 
elle revint quelques minutes après.
-Je dois mettre tout ca ?
- Oui ! Je pense que ca t'ira très bien ma petite chérie !
- C'est un peu osé quand même ?
- Osé ? Tu as vu comment tu te balades depuis quelque temps ?
- Oui, mais là c'est devant tes amis !
- Justement, ce sont mes amis, ils me connaissent bien, connaissent bien mes goûts et en partagent certains, ne t'en fais pas ! Allez, vas-y !
Marie obéit.
 
Vingt minutes après les invités sonnèrent.
Il y avait un couple d'une quarantaine d'année et un homme seul un peu plus jeune.
L'entrée de Marie ne passa pas inapercue mais personne ne fit de commentaires.
- Je vous présente Marie ! dit son amant.
Trébuchant presque sur ses nouveaux talons de 14cm de haut elle salua les amis de ce dernier ; elle avait pour l'occasion une mini jupe de cuir lui arrivant au raz des fesses, laissant une large part de ses cuisses à l'air, ses bas résilles ne montant pas jusqu'en haut. Plus haut justement, Marc ne lui avait permit qu'un léger débardeur à mailles laissant aisément voir sa grosse poitrine.
 
Marie fut très vite rassurée par la discussion culturelle et mondaine qui s'ensuivit. Pourtant, très vite, trop vite à son goût, Marc dévia la conversation vers elle, racontant leur vie, dans la moindre intimité, parlant de ses projets. ainsi Marie apprit que l'homme marié était médecin lorsqu'ils évoquèrent les idées de piercings.
- Si tu veux j'ai aussi un très bon copain tatoueur, il pourra s'occuper d'elle, qu'en dis-tu ?
- C'est prévu, mais on verra plus tard.
- En attendant c'est bien de se montrer presqu'à tout le monde mais est-ce qu'elle passe à l'acte ?
 
C'était l'autre homme qui s'exprimait.
 
- Marie, lève-toi s'il te plait ! dit son amant.
Marie obéit.
- Agenouille-toi devant Jérome et sors sa queue !
De plus en plus troublée elle poursuivit.
- Prends-le en main ! Branle-le !
 
Marie prit vite une certaine assurance.
- Approche-toi, prends-le dans ta petite bouche !
Elle prit le sexe et commenca à sucer !
 
elle ne se rendit pas tout de suite compte que l'autre homme avait baissé son pantalon et présentait son sexe bandé devant sa main droite.
- Tu as un autre invité ma chérie !
 
A son tour elle le masturba, puis alternativement le prit en bouche avec l'autre. C'était une nouvelle sensation pour elle ! Deux queues ! Et celle de son amant ? Que faisait-il ? Il prenait des photos !
 
Jérome se retira avant de jouir, passa derrière Marie, eut peu à relever et introduit son sexe dans la chatte rasée et luisante de la jeune femme.
- Ne t'en fais-pas ils sont sains ! Je réponds d'eux ! lui dit Marc.
 
La femme d'abord spectatrice s'était lévée et présenta à Marie en relevant sa jupe un sexe épilé avec un petit anneau au clitoris.
 
- Lèche ! ordonna-t'elle
C'était encore nouveau pour la pauvre Marie qui se retrouva pénétrée d'un sexe, faisant un cunnilingus, et masturbant le mari ... et son amant qui à son tour avait sorti son sexe.
 
Durant l'heure qui suivit elle fut pénetrée par tous ses orifices, ses tétons pincés, le martinet fut de sortie, ses longs cheveux tirés !
-Profite-en ! Bientôt elle aura la boule à zéro ! dit son amant en riant.
 
Récupérant en prenant un café, ils échaffaudaient des projets. Le couple de médecin était très interessés par la venue prochaine de la petite soeur !
- Si elle est comme la grande soeur, y aura des choses à faire !
- Elle vient d'avoir 16 ans, vous ne pouvez pas ! dit Marie.
- D'après les photos elle fait plus, tu as vu ses nichons !
- C'est de famille, regardez les photos de sa mère ! poursuivit son amant.
- Ah oui, il faudrait qu'ele vienne faire un tour à Paris aussi, même avec le mari !
 
- Bon, il n'est pas trop tard encore, si on allait faire un tour ?
- Où ca, au Club ? demanda son amant.
- Non, je pensais qu'on aurait pu emmener notre petite amie faire de nouvelles connaissances en plein air ?
- Au bois ?
- Oui !
Comment habille-t'on notre petite salope ? Est-ce qu'on l'habille d'abord ?
- Oui, on l'emmenera à poil quand elle aura tous ses piercings et ses tatouages !
- A ce propos, on est désolés, mais avec Brigitte on va devoir y aller, j'ai des rendez-vous très tôt demain matin, mais ce n'est que partie remise. Par contre tu peux me l'amener demain en fin d'après-midi pour la percer.
- OK, on commencera par ses lèvres, je t'expliquerais pour la suite ; je voudrais que cela soit prêt quand sa soeur sera là ; la cicatrisation prendra du temps ?
- Non, même si demain je mettrais des anneaux provisoires ; tu voudras quel diamètre ?
- Assez gros, trois cm et un demi d'épaisseur !
- pas de problèmes, allez, au revoir !
 
Il embrassa Marie sur la bouche qui lui donna sa langue, sa femme fit de même en lui sussurant que demain soir ce sera elle qui l'épilera.
- ...définitivemment, au laser, tu verras tu aura une chatte de petite fille tout le temps, c'est encore plus excitant !
 
Marc prépara Marie pour la sortie.
elle remit la même minijupe de cuir, le même débardeur.prit une laisse qu'il accrocha à son collier et ils sortirent ainsi.
 
Il était à peine une heure du matin, mais pas de chance, ils croisèrent dans l'escalier un couple voisin. Marie était cramoisie, les deux hommes, très naturels, saluèrent le couple. Marie comprit que sa réputation dans l'immeuble allait en prendre un coup car il y avait une différence entre porter des tenues sexy et être tenue en laisse quasiment nue avec deux hommes ! Curieusement elle se sentit excitée.
 
Ce n'est pas le court déplacement qui la refroidit, Marc la branlant pendant quasiment tout e trajet.
 
- Viens ma chèrie !
Il faisait doux et Marie était sur ses très hauts talons. Au nombre de voitures stationnées et passantes, elle se dit qu'elle allait encore vivre quelque chose de nouveau.
- Et la police ?
- T'en fais pas pour eux !
Trois jeunes hommes attirés comme des insectes par la lumineuse tenue noire de Marie s'approchaient. Son amant lui parla à l'oreille.
- Enlève ta jupe, de tout manière, elle ne cache pas grand chose !
Marie hésita, plus que troublée ; elle cache quand même ma chatte ! se dit-elle.
En regardant Marc, elle baissa lentement, très lentement sa micro jupe.
- Je fais un striptease en pleine rue maintenant ! pensa-t-elle
 
Jérome passa ses doigts sur la fente.
- Elle est trempée la cochonne !
 
- Le haut ma chérie maintenant, on voit déjà beaucoup tes seins mais je crois que tes nouveaux admirateurs ameraient en voir plus !
 
Il laissa un instant la laisse et Marie fit passer le débardeur par dessus sa tête ; elle était maintenant nue excepté son collier, ses bas et ses hauts talons ! Marc mit les vêtements dans la voiture et entraina Marie dans la pénombre du bois.
 
Ils n'étaient pas seuls ; une douzaine d'hommes les suivait. Ils savaient que la suite allait être intéressante ; une très jeune femme nue et tenue en laisse, en plus avec des seins que beaucoup n'avaient vus qu'en photos ou dans des films ...
 
La suite allait effectivement leur donner raison !
 
Très vite Marc s'arrêta devant une table en bois.
- Messieurs, cette jeune femme d'à peine vingt ans est à vous si vous avez des capotes !
Evidemment, tout le monde était pourvu, et Marie reçu en une demi heure une bonne quinzaine de sexes différents dans ses trois orifices. Encouragée par marc et Jérome, elle s'appliqua comme elle pu.
 
- C'est sa première sortie ainsi !
Marc précisa ces détails, qui rendirent plein d'ardeur à ses nouveaux amants !
- Dans quelques temps, elle aura la langue perçée, vous verrez la sensation si on se revoit !
Les hommes vidaient leur préservatif sur elle, c'est ruisselante de sperme et toujours tenue en laisse qu'elle fut ramenée à la voiture ; elle s'en fichait d'être nue.
- Tu pues le sperme ! Tiens, tu vas rentrer dans le coffre !
 
A sa grande stupeur, Marc la fit rentrer nue dans le coffre assez grand de son véhicule devant de nombreux voyeurs.
 
Revenus devant chez elle, il la fit sortir ; à cette heure tardive il n'y avait personne et c'est toute nue qu'elle remonta non sans avoir sucer une nouvelle fois Jérome dans le hall d'entrée, puis Marc !
 
Epuisée, il la laissa dormir après une rapide douche.
Ils se reveillèrent tard. L'heure du déjeuner était passée, ils collationnèrent. Marc demanda à Marie ce qu'elle avait pu ressentir durant toute cette soirée.
Troublée, hésitante, elle dû reconnaître qu'elle avait aimé se montrer, être prise par tous ces inconnus ; c'est juste la sortie devant ses voisins qui l'embêtait.
 
- Tes voisins ? Ce n'est rien ! Bientôt tu feras mieux, devant eux, devant d'autres voisins ; n'oublions pas ta famille, j'ai hâte de rencontrer ta soeur ; quand arrive-t'elle déjà ?
- dans 5 ou 6 jours je crois, pourquoi ?
- Je te l'ai déjà dit, pervertir une gamine de seize ans m'excite et mes amis aussi, ne les oublie-pas !
- Mais que veulent-ils de Florence ? Ils ne la connaissent même pas !
- Tu verras bien, mais ils sont très imaginatifs !
- Ca ne me plait pas !
- Ah ! La grande soeur qui défend la petite !
 
Marie, mutine, lui tira la langue.
Marc se dit qu'elle serait très mignonne avec un bijou sur cette langue, et pourquoi pas deux ?
- Bon, au fait, il serait temps d'y aller ! On va commencer à te rendre présentable en te posant tes premiers anneaux et après je t'invite au restaurant !
 
Toujours vétue à la limite de l'indécence, mais avec des talons moins haut que la veille et sans bas et sans laisse, Marie partit au bras de son homme qui se transformait de plus en plus en maitre.
Elle imaginait déjà les anneaux sur son ventre et se disait
qu'assise avec ce qui lui servait dorénavant de jupes ou de robes elle susciterait encore plus la curiosité, la convoitise ou la critique.
 
Mais elle s'en fichait, voulant briser les dernières chaines qui la retenait encore à son éducation passée. Pourtant, avec ce qui s'était passé la nuit précédente elle aurait pu s'en croire affranchie, mais non, elle se sentait prête à plus !
 
Marc le ressentait aussi, le regrettait presque, car il aurait préféré forcer comme tous les hommes la volonté de sa maitresse qui se prêtait à tout.
 
Ils arrivèrent au cabinet médical.

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