Marie et sa famille

Dimanche 17 avril 7 17 /04 /Avr 18:44

Chapitre 9

 

Marie, somnolente, croyait rêver, mais c'était bien le téléphone qui sonnait à un peu plus de minuit.
 
- Allo ? Oui, c'est moi ! Je vais rester finalement avec Katia cette nuit ...et ... une bonne partie de la journée de demain aussi ...
 
Marie sentit à la voix de sa soeur que celle-ci était assez enjouée et lui souhaita une bonne nuit pleine de sous-entendus.
 
Le lendemain Marie fit la grasse matinée, passa à la Fac voir des résultats en vain, c'était trop tôt. Elle ressentait de moins en moins de gêne à déambuler les cuisses plus que dénudées et les belles journées se multipliaient.
En début d'après-midi Marc l'appela pour lui dire qu'il passerait en début de soirée et qu'ils sortiraient ensuite.
- Tu sais que ma soeur a passé la nuit avec Katia et qu'elle doit encore être avec en ce moment ?
- Oui je sais ; je peux même te dire qu'elles doivent être chez Hervé en ce moment.
- Chez Hervé ? Non ! Il ne va pas la percer comme moi j'espère ?
- Non ....pas encore, voyons ! dit son amant avec un peu d'ironie ...
Marie était interloquée. Pourquoi aller chez Hervé ?
- Alors pourquoi ? rajouta-t-elle.
- Tu verras bien ma petite chérie ! A ce soir ! Et il raccrocha.
 
Et Marie attendit, nue sur son lit, lisant un roman sado maso, titillant gentiment ses anneaux, ne voyant pas un homme l'observer de l'immeuble d'en face ! L'aurait-elle vu qu'elle n'aurait certainement rien fait, prenant de plus en plus de plaisir à se montrer, n'ayant plus honte de ses opulentes mamelles et fière de porter des bijoux intimes...
 
Vers cinq heures on sonna. Florence n'ayant pas les clés, Marie pensa tout de suite à elle. Sans réflêchir elle ouvrit la porte, nue, ne sachant qui elle allait trouver derrière.
Elle eu un choc.
- Florence !!!
- Oui c'est moi, fais pas cette tête !
- ...et...euh ...parce que...tu as vu la tienne ?
Florence n'avait plus de cheveux ! Sa petite soeur de 16 ans était tondue, totalement rasée. Elle lui expliqua que Karine lui avait proposé cette expérience car elle était en vacances et que ses cheveux auraient le temps de repousser d'ici septembre, certainement pas là où elle les avait, mais d'une longueur respectable ...
Elles étaient donc allé chez Hervé qui l'avait terminé à la mousse à raser et au rasoir pour qu'elle soit totalement lisse. Toujour vétue comme la veille, elle avait fait sensation dans les rues de Paris, ayant peur de la réaction des flics, mais bizarrement elle n'en n'avait pas croisé !
- Ca va pas ? insista son ainée.
- Ca te va bien de dire ca toi ! tu crois que tu as des leçons à me donner ? Je crois que Marc voudrait bien que tu sois tondue aussi il me semble ?
- ... Euh ... oui, mais je suis majeure, et puis tu vois, j'ai toujours mes cheveux depuis plusieurs mois qu'il m'en parle, je n'ai pas cédé dès le premier soir moi !
- Bon, c'est fait de toute manière ; je peux te dire que si j'avais une petite appréhension au début, ca m'a bien excité ensuite ...et Hervé en a encore bien profité, si tu vois ce que je veux dire...
 
Florence se mit nue, oubliant définitivement les fenêtres sans rideaux. Marie vit avec soulagement qu'elle n'avait pas de piercings...mais qu'elle avait le pubis lui aussi rasé et même épilé.
Affalée sur le canapé, sa petite soeur lui raconta sa soirée avec Katia, les regards portés sur elles et surtout sur elle, vétue comme une pute ; sa honte s'étant transformée en excitation. Elles avaient rejoint l'hôtel de Katia où elle avaient retrouvé Ernst qui les attendait. Il complimenta la petite pour son audacieuse tenue, lui caressa les fesses quasi nues.
- Tu sais mon chéri que Florence m'a dit qu'on pouvait lui raser son sexe !
- Ah oui ? C'est très bien, tu verras, c'est très excitant pour toi et pour ton partenaire, tes partenaires ...
- Et tu ne sais pas tout, elle m'a même dit que je pouvais tout lui faire !
- C'est vrai ? dit-il en tournant sa tête vers Florence.
Celle-ci était rouge en entendant ces phrases ... et était de plus en plus excitée par la main caressant sa fesse gauche !
- ...Euh...,oui...,Katia...,vous pouvez faire tout ca que voulez avec moi...
- Katia continua.
- Je lui proposais justement de lui raser sa tête, qu'en penses-tu mon amour ? elle serait belle totalement tondue ?
- Très bonne idée, c'est quelque chose que je lui aurais proposé chez nous si elle vient, mais si on peut gagner du temps ...Qu'en penses-tu ma chère Florence ? As-tu déjà eu le fantasme d'être tondue, d'avoir un crâne nu ?
Florence ne savait plus, n'en pouvait plus car Ernst avait accentué ses caresses.
- Oui ! dit-elle
- Oui quoi ? lui demanda Katia
- Oui, je veux bien être tondue, c'est les vacances.
- Très bien ma chérie, alors demain nous irons chez Hervé qui fera ca très bien même s'il n'est pas coiffeur !
 
Florence raconta à sa soeur sa nuit entre les deux allemands qui s'avéraient être de sacrés pervers. Elle suça Katia pendant qu'Ernst la prenait en levrette, puis, événement, elle fut sodomisée pour la première fois. Ils se réveillèrent tard et remirent ca ! Puis Katia lui redemanda si elle voulait partir avec eux le lendemain en allemagne.
Sans hésiter florence dit oui.
- Mais je n'ai pas beaucoup d'affaires, je pensais rester trois semaines à Paris avec Marie.
- Ca ira...,et puis je crois que tu passeras pas mal de temps nue si tu m'as bien compris ! lui dit-elle les yeux dans les yeux en souriant !
Florence sourit aussi, devinant très vite que son séjour en Bavière allait s'avérer pour le moins mouvementé !
- Et puis je pourrais m'occuper de t'habiller... continua Katia
- ....Comme une pute ? ironisa florence.
- Pourquoi pas ? Tu fais plus que ton âge !
- Et si tu restes après, pourquoi pas ? je te promets que les projets de Marc avec ta soeur seront des enfantillages par rapport à ce que j'envisage avec toi !
- ... et, ... qu'est-ce que vous envisagez avec moi ? osa Florence d'une petite voix.
- Tu verras bien si tu restes ! précisa perfidement Ernst
Il ajouta que comme elle pouvait le voir il aimait les gros seins, et que cela serait un plaisir de faire grossir ses seins d'adolescente déjà bien pourvue.
- Mais je fais déjà du 95E, vous ne croyez pas que ca suffit ?
- Ca ne suffit jamais ! Tu peux dépasser ma femme !
- Non, c'est trop ! Je ne pourrais jamais supporter un tel poids !
- On verra, c'est juste un projet ! En tout cas nous avons beaucoup d'amis à te présenter si tu veux venir.
- Je veux venir, mais vous me faites un peu peur avec vos idées !
- Peur ? Non, tu n'as pas à avoir peur car nous sommes sur que tu aimeras, on est certain que tu es encore plus soumise que ta soeur !
- Vous voulez faire de moi une ...soumise ?
Ernst ne répondit rien, lui sourit, lui demandant de bien réfléchir.
Florence, soudain pleine d'assurance :
- Tondez-moi la tête ! On verra bien pour la suite après !
Ernst et Katia se sourirent discrétement ; ils jubilaient, ayant peut être trouvé la fille qu'ils cherchaient depuis quelques années.
 
Marie était estomaquée par le récit de sa soeur.
- Tu devines ce qui va se passer en Bavière ?
- Oui, mais c'est les vacances !
- Des vacances un peu spéciales quand même, non ?
Florence lui sourit en écartant les cuisses, pas génée du tout.
- Et tu crois qu'ils vont me mettre des anneaux comme toi ?
Marie était troublée par la vue du minou épilé de sa soeur.
- Certainement, et à mon avis tu en auras d'autres, vicieux comme ils sont !
- Alors je te battrais peut-être ! Parce que ton Marc il mets quand même du temps !
Marie s'était agenouillée devant sa soeur pour mieux regarder ce sexe lisse. Elle s'en approchait de plus en plus. Ca dérapa ...
 
Marie, tout doucement fit un rapide bisou au sexe de sa soeur. Cela donna des frissons à celle-ci !
- Marie ? Qu'as-tu fait ?
- Ca t'a plu ? Tu veux que je recommence ?
Pour toute réponse, Florence écarta encore plus les cuisses en soupesant ses gros seins.
Marie, oubliant tous préjugés, prit en bouche le sexe offert ; très vite les deux soeurs roulèrent par terre, en 69 ! Elles se tirèrent mutuellement leurs tétines, leur arrachant des petits cris. Marie était troublée de caresser le crâne nu.
  
-Alors les filles ? Vous n'avez pas honte ? Deux soeurs qui se gouinent !
C'était Marc, Marie lui avait donné un jeu de clés, qui était arrivé tout doucement.
Sans s'arrêter le moins du monde, les deux vicieuses continuèrent ; Marc baissant simplement son pantalon, s'agenouilla derrière Marie et la sodomisa.
Plus tard, Marc complimenta Florence sur sa coupe radicale !
 
La soirée se passa calmement, ils allèrent tous les trois au restaurant, puis au ciné. La seule différence, c'est que peu osaient s'afficher comme Marie et maintenant sa petite soeur tondue et fière de l'être, et aussi court-vêtues l'une que l'autre  !
Au retour, Marc baisa Florence dans le hall d'entrée, sa soeur se masturbant à leurs côtés. Il fit monter ses deux salopes nues sur leurs hauts talons, prenant leurs arachnéennes tenues dans ses bras.
Il attacha les mains de Florence avec des menottes pour la nuit, l'empêchant de se toucher.
- A mon avis, chez nos amis allemands, tu vas être souvent entravée !
 
Le lendemain matin, Florence et Marie passèrent pas mal de temps au téléphone avec leurs parents afin d'expliquer la possibilité de partir en Allemagne pour la benjamine. D'abord un peu réticents, ils firent confiance à Marie qui ne disait évidemment que du bien des deux pervers d'outre-Rhin ! Ils ne lui demandèrent pas pourquoi elle ne revenait pas chercher des affaires.
Florence annonca ensuite la bonne nouvelle à Katia qui lui dit qu'ils passeraient la prendre au début de l'après-midi.
 
Les au-revoir furent rapide mais il y avait une surprise.
Katia demanda à Florence de descendre complétement nue jusquà la voiture garée juste devant !
- Mais il fait jour ! on est l'après-midi, y a du monde ! se défendit l'adolescente
- Oui, et alors ? répondit froidement Katia en lui mettant un gros collier autour du cou.
- Tiens ! Avec ca, tu te sens plus habillée ?
Elle sortit une laisse de son sac, l'accrocha au collier et tira vers la porte la belle adolescente tondue.
- Allez, petite salope, en route !
Hésitante, rougissante, Florence se laissa entrainer dans la cage d'escalier, tirée en laisse et nue sur des escarpins de 12cm de haut ! Marie suivait avec son sac d'affaires.
Elles descendirent les trois étages, et sans s'arrêter pour regarder, l'allemande tira Florence dans la rue, sur le trottoir. il y avait quatre ou cinq personnes qui virent cette jeune femme nue, aux très gros seins, épilée, sans un cheveu sur la tête et tenue en laisse rentrer dans la puissante berline au volant de laquelle attendait patiemment Ernst.
Les badauds surpris virent à peine l'autre jeune femme très court vétue mettre deux sacs dans le coffre.
La voiture démarra, emmenant Florence vers des vacances sans nul doute bien différentes de celles de ses copines de lycée !
 
Marc et Marie remontèrent, faisant eux aussi des projets de vacances.

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille
Vendredi 11 mars 5 11 /03 /Mars 22:57

Chapitre 8
  
Marie était attachée à une grande croix de Saint-André qui occupait tout le fond de la salle ! Brigitte la fouettait durement à la vue des marques sur son corps complêtement nu ; en fait, elle avait juste ôté son chemisier transparent. Sa poitrine était zébrée ce qui horrifia sa jeune soeur qui le fut encore plus lorsqu'elle la vit sourire à son approche.
Comme avec Marie, Marc caressa les gros seins de la benjamine en se mettant derrière.
- Je crois que tu bats Marie au niveau des nichons ma chère Florence !
Celle-ci était cramoisie car il y avait bien une douzaine de personnes fortement occupées dans cette cave, et elle se faisait tripoter les seins devant tous !
 
Quelques minutes plus tard, elle ne savait plus oû elle était, ayant dans sa main gauche la queue d'Hervé, dans celle de droite celle de Marc ...et celle d'Ernst dans la bouche, le sucant suivant ses conseils.
- Tu disais que tu n'avais sucé qu'un sexe d'homme ? J'ai du mal à te croire de la manière dont tu te débrouilles ! lui dit-il.
 
Pendant ce temps katia avait posé des poids aux anneaux de Marie, étirant douloureusement ses lèvres, ainsi que des pinces à ses tétons. La laissant, elle partie avec Brigitte sur un sofa voisin pour se mettre en 69 !
Marie avait le corps brûlant des coups ... mais elle avait eu de multiples orgasmes. Entravée et toujours engodée elle vit sa petite soeur sucer successivement les trois hommes ...puis un autre, inconnu, puis encore un autre, plutôt bedonnant, Marc lui demandait de ne pas laisser de sperme, de tout avaler. Si elle avait sucé sans capote, c'est le sexe protégé que les hommes se succédèrent dans son sexe ; son anus resta vierge, mais une bonne dizaine d'hommes lui passèrent dessus ! Deux femmes se firent même lêcher, dont Brigitte !
 
C'est nues sous leur long manteau qu'elle sortirent de ce club privé. Marie, à sa grande surprise n'avait pas été pénétrée par quiconque. Elle pensait que la soirée n'était pas terminée pour elle, mais Marc les ramena, lui laissant même son manteau pour monter à son étage !
 
- Bonne nuit les filles, je vous laisse, vous avez sûrement des choses à vous dire ! Marie, on se verra après-demain, j'ai des choses à régler.
 
Après, une bonne douche les deux soeurs se couchèrent. Florence devait occuper le canapé mais Marie lui proposa de venir dans son lit.
- Ca sera mieux si on veux parler !
- D'accord, mais demain ! je suis fatiguée ! Je me demande comment j'ai pu accepter tout ca ; Tu te rends compte, il y a bien une dizaine de mecs qui m'ont baisée !!! et puis toi ! Tu as vu tes marques ! Ca te plait d'être battue comme ca ?
- Au début non, mais tu ne peux pas savoir comme ca m'a fait jouir !
 
Florence avait du mal à comprendre ; elle prit un sein de Marie, un peu surprise, le caressa d'une main, puis des deux...
- C'est vrai, je pense que je te bats d'un poil pour les seins !
- On tiens de notre mère, p'tite soeur ! Au fait tu as vu la paire de l'allemande ? Ca te plairait d'en avoir une comme elle ? Ca doit être génant non ?
- Génant quand on est prude et timide oui, mais Katia m'a l'air d'être une sacrée salope qui s'assume !
- J'le pense aussi ! Ca te dirait de partir en vacances chez eux, à mon avis ca pourrait être bien chaud !
- Oui ! dit Florence en se glissant nue sous la couette, ne disant pas à sa soeur qu'elle voulait vraiment aller en Allemagne ...
 
 
Au réveil, les deux soeurs étaient presques enlacées. Marie s'écarta doucement même si elle hésita à caresser un mamelon de Florence. C'était sa soeur tout de même ! Si depuis des mois elle s'enfonçait grandement dans la forêt de la perversion, elle ne se sentait pas encore capable de caresser sa petite soeur même si son amant n'attendait que ca !
Elle se leva, alla à la fenêtre, il faisait beau et la matinée était ....bientôt terminée ! Elle vit un homme la regardant en face mais ne se cacha pas, ne s'écarta pas, assumant sa nudité ; nul doute qu'il pouvait voir les anneaux brillants accrochés à son sexe ! elle devenait franchement salope ...
 
Florence, à son tour se leva, oubliant un instant l'absence de rideaux. Perverse, sa soeur ne dit rien.
- Marie ! Les fenêtres ! dit-elle en s'écartant vivement.
- Encore ? Tu l'as déjà dit hier soir ! fit Marie d'un air blasé.
- Attends ! Moi, je suis pas aussi salope que toi, c'est nouveau pour moi tu comprends ?
- Je ne suis pas une salope, j'obéis à Marc, c'est tout ! Et puis c'est rigolo !
- Ah bon ? Un jour les flics vont débarquer parce qu'il y en a un d'en face qui les aura appelé !!!
 
Marie ne répondit rien et partit dans la salle de bain ...suivie de Florence.
Les deux soeurs se promenèrent tout l'après midi. Florence insista pour mettre des vêtements qu'elle avait amené, et pas ce que voulait lui prêter sa soeur.
- J'ai fait une bétise hier soir de m'habiller comme une pute pour te faire plaisir.
- Tu n'étais pas une pute Florence, tu étais simplement sexy, une ado de 16 ans très sexy !
- ah oui ? et tu trouve normal qu'une ado de 16 ans se fasse sauter par plein de mecs ! J'les sens encore m'enfoncer leurs bites !!!
- Et ca t'as plu espèce de Tartuffe ? sourit Marie.
Florence ne répondit rien, toujours troublée ; elle n'oubliait pas non plus la chatte de Brigitte avec son anneau au clitoris ; elle ne savait pas pourquoi elle se demandait si celle de Katia aurait aussi bon goût ?
 
Elle admirait quand même sa grande soeur et son radical changement ; elle ne mettait que des mini jupes lui arrivant au raz des fesses et dévoilait à tout le monde son opulente poitrine. On se retournait sur sur son passage, sur sa démarche chaloupée occasionnée par le port de talons démesurés.
- Tu ne vas pas toujours à la Fac comme ca quand même ?
- Si ! Mais tu sais, je ne suis plus tellement assidue ! rajouta-t-elle en rigolant.
- Et tu vas faire comment quand il fera plus froid, tu t'enfileras un radiateur dans le cul ?
- On verra à ce moment, tu sais il y a plein de possibilités, et puis, je ne sais pas où j'en serais, tu as entendu Marc ?
- Oui! Tu veux vraiment te laisser percer partout, avoir des tatouages certainement obscènes, te faire raser la tête ? te faire sauter par n'importe qui, n'importe où ?
- ....Oui, cela peut paraître fou, mais je suis prête à tout pour Marc, il pourra me faire faire la pute s'il veux !
- Et les parents ? Tu te vois arriver à la maison la boule à zéro, habillée comme t'es là, avec des anneaux partout ?
- Je sais, on n'y est pas encore ! C'est aussi pour eux que j'hésite à continuer.
Florence poursuivit.
- Et puis moi ! Y a Hervé qui me parlait aussi de piercings ! Il me disait qu'avec des seins comme les nôtres cela devrait être obligatoire d'avoir des boucles aux tétons ! T'entends ? Ils sont spéciaux quand même !
- Oui, mais qu'en penses-tu ? T'aimerais être percée ?
- J'ai 16 ans Marie ! 16 ans, tu crois pas que c'est un peu jeune ?
 
Elles prirent un verre en terrasse, où Marie dévoila entièrement ses cuisses et un peu plus à un homme seul placé dans un parfait alignement.
- Attends un peu ! tu vas voir ce que je suis capable de faire maintenant, même sans Marc !
Elle se leva, alla vers l'homme, se pencha vers lui. L'inconnu écouta, les yeux penchés dans le décollété vertigineux de la belle brune qui ne lui proposait ni plus ni moins que de la sauter dans les toilettes !
 
Sa petite soeur resta coite lorsqu'elle compris.
Sur le chemin du retour à l'appartement, Marie lui raconta dans les détails ce qu'elle avait fait : sucer sans capote assise sur la cuvette des chiottes l'inconnu debout, se faire sauter ensuite, l'homme voyant qu'elle avait le cul pluggé et portant des anneaux
intimes fut encore plus excité, la pilonnant avec encore plus de force et de désir. Marie jouit fortement, sans honte d'être devenue complétement salope...
 
Arrivées, il y avait une message téléphonique laissé par Katia :
 
- "Bonjour les deux soeurs ! C'est Katia, J'ai eu le numéro par Marc, Je suis seule ce soir, je voudrais bien te voir Florence pour savoir si tu es vraiment intéressée pour venir passer un peu de vacances chez nous, tu as déjà un joli accent en allemand, il faudrait le perfectionner...Et on repart dans deux jours, je te
laisse mon numéro de portable !"
 
Marie se dit en son for intérieur qu'il n'y a pas que l'allemand que Katia voudrait lui faire perfectionner !
 
Elle entendit sa soeur faire le numéro, et progressivement changer de ton au rythme de ses "oui" prononcés.
 
Après avoir raccroché, elle dit à Marie qu'elle avait rendez-vous avec Katia le soir à 19h30, dans une heure, pour discuter en dinant.
- Où ca ? Je peux t'indiquer où c'est !
- Ca va Katia vient me chercher en bas !
Hésitante, elle poursuivit.
-...Eeuh...elle m'a demandé...si... si je pouvais être aussi mignonne qu'hier soir...plus mignonne encore...
Marie sourit.
- Ah bon ? Je croyais que ca ne t'avais pas plu, que tu avais eu honte !
- C'était la fin ! Me faire sauter par plein d'inconnus, j'ai pas l'habitude.
-Et ca veut dire quoi "encore plus mignonne" ?
- ... Euh...je ne sais pas...tu peux m'aider ?
- Attention, je vais te transformer en petite cochonne, une petite cochonne de 16 ans comme tu aimes à rappeler ton âge !
- Tu sais, toi tu n'as qu'à peine 20 ans !
- Ouais, en attendant viens avec moi dans la chambre !
 
Florence se mit nue ...près de la fenêtre, soutenant le regard amusé de sa soeur.
 
Un heure après, elle descendit les marches...difficilement car Marie lui avait donné ses cuissardes de 15 cm de haut. Ses jambes nues étaient pratiquement dévoilées jusqu'à ses fesses recouvertes d'une mini jupe de cuir noir. Elle avait le même haut décolleté de la veille. Ses longs cheveux étaient en chignon. La différence avec la
veille était qu'elle n'avait pas de long manteau pour couvrir son corps exposé ! Elle faisait pute !Tout à fait l'attitude qu'elle avait dénonçé toute la journée mais elle sentait son sexe de plus en plus humide ! elle devenait folle ! il fallait l'être pour sortir ainsi dans cette douce soirée de juin !
 
Katia l'attendait au volant d'une puissante berline. elle lui ouvrit la portière. Florence vit qu'elle était toute de cuir noir vêtue.
- tu es superbe ! lui dit-elle en allemand.
- Danke ! répondit la jeune ado en s'asseyant les cuisses complétement à l'air, dévoilant son pubis fourni.
Ne perdant rien, l'allemande lui dit gentiment :
- Il faudrait rafraichir tout cela, raser tout cela tu ne crois pas ?
- Oui, comme vous voulez ! tout ce que vous voulez !
Florence l'avait vouvoyé. Elle trouvait cela normal, elle était plus vieille que sa mère.
- Tout ce que je veux ? Attention je pourrais vouloir beaucoup, je pourrais vouloir raser tout cela ! Qu'en penses-tu ?
Florence eut des frissons lorsque Katia passa sa main droite dans ses longs cheveux ...
- Allons diner ! On auras tout le temps de parler !
 
Florence était troublée par sa "proposition" ; elle était plus que troublée par cette femme qui l'emmenait diner au restaurant. elle fut encore plus troublée lorsqu'elle vit qu'elles allaient dans un restaurant "normal" et qu'elle était habillée de manière plutot indécente, c'est le moins qu'on puisse dire. elle croyait retourner dans un lieu comme celui de la veille mais elle allait rentrer dans un restaurant habillée comme une pute avec une femme toute en cuir moulant, juchée sur des talons presque aussi hauts qu'elle -comment pouvait-elle conduire ?- mais faisant penser à une implacable dominatrice.
 
Qu'allait-il se passer ?
 
Pendant ce temps, Marie s'était mise au lit avec un des livres de son amant qu'elle tenait d'une main ...et de l'autre s'enfonçait un gros godemichet dans son vagin .... et elle pensait à sa petite soeur...

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille

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