Marie et sa famille

Vendredi 11 mars 5 11 /03 /Mars 22:42

Chapitre 7


L'entrée des deux soeurs ne passa pas inaperçue parmi la vingtaine de convives attablés dont les femmes présentes souvent habillées de manière sexy, ne rivalisaient en rien avec l'audace voire l'obscenité de la "tenue" de Marie.
Marc était fière de sa protégée, déambulant entre les tables, tirée en laisse par une jeune adolescente, sa propre soeur, elle-même habillée de manière plus qu'osée ! Ils rejoignirent ses amis, Brigitte et Hervé, ainsi qu'un couple un peu plus agé, que Marie rencontrait pour la première fois.
Marc fit les présentations, le nouveau couple s'avéra être allemand, Katia et Ernst, habitants de Bavière et en séjour à Paris.
 
Florence resta coite lorsque Marc, prenant la laisse en main, demanda à sa soeur de se mettre à genoux afin de passer le repas à ses pieds ! Elle vit sa soeur hésiter, puis quand même rougissante obéir à cette consigne. Les autres approuvèrent et relevèrent la docilité de la jeune femme.
- Elle obéit bien ta petite amie ! dit l'allemand dans un francais sans accent.
- Oui ! elle progresse bien. Il s'asseya à côté de Brigitte,
Florence prenant place entre Hervé et celui qui venait de parler, sa femme président en quelque sorte la table.
Curieusement la discussion tourna autour des grosses poitrines des deux soeurs alors que l'allemande en arborait une encore plus imposante avec une taille très fine pour autant qu'on pouvait le voir.
- Au moins du 110 ! pensa Florence
La voyant souvent tournée vers elle, Marc surprit son regard vers la voluptueuse poitrine.
- Que penses-tu des seins de Katia, Florence ? Je te vois les regarder ! Tu sais que les tiens sont très beaux et tiennent très bien tout seuls !
Il avait été volontairement provocateur pour faire rougir et gêner l'adolescente. Ce fut réussi, mais Florence se dit qu'elle n'aurait peut-être pas dû mettre la tenue que lui avait proposé sa soeur ; mais bon, c'était trop tard ...
Malgré cela elle se sentait bizarre et sentait ses tétons pointer sous son léger débardeur décolleté ...
- Du 115 ! dit le mari allemand qui précisa qu'un traitement mammaire l'avait fait passé d'un bon 90 à ces mensurations en l'espace de quelques mois !
Florence et sa soeur se demandèrent sans le savoir la même chose : Seraient-elles capables d'accepter cette véritable hypertrophie mammaire si on le leur demandait dans un avenir plus ou moins proche ?
 
Toutefois, le présent était le repas qui se poursuivit par les explications données par Marc sur Marie aux amis allemands et aussi par conséquence à Florence. Celle-ci en apprit beaucoup sur sa soeur qu'elle ne savait pas si soumise. Elle l'a regarda plusieurs fois, Marie baissant souvent la tête ou lui souriant gentiment.
 
- Jolis ses anneaux à son sexe ; comment dites-vous déjà ...
- A ses lèvres, ses grandes lèvres ! On dit comme ca chez nous ! précisa Hervé qui avait négligemment posé sa main sur la cuisse largement dénudéee de l'adolescente en se penchant vers son ami d'Outre-Rhin. Florence ne se déroba pas, ni ne lanca aucun regard vers celui qui avait percé sa soeur et qui continuait avec Marc sur les projets de transformations corporelles chez sa grande soeur .
- La prochaine étape sera le clitoris qu'on percera par un gros anneau, et en même temps on s'occupera de ses seins avec aussi des gros anneaux ; hein que ca t'ira bien des gros anneaux à tes grosses mamelles ma petite salope, dis-le à nos amis !
 
Marc voulait que sa jeune maitresse affirme elle-même sa volonté d'être intimement percée. Hésitante toutefois, celle-ci acquiésa et répéta les propos de son maître-amant.
Marc ajouta :
- Puis on s'occupera de sa langue avec non pas une mais certainement deux pointes ! Et puis, le plus visible un autre anneau percant sa cloison nasale !
- Tout le monde le verra ! dit Brigitte
- Oui, c'est le but ! qu'elle s'expose, que tout le monde se doute de son style de vie ! même ses proches ! On commence par sa soeur ! finit Marc en souriant vers Florence.
Celle-ci était partagée, car depuis quelques minutes ses deux voisins l'avaient, au sens propre, prise en main et elle était complétement perturbée par des attouchements de plus en plus rapprochés vers son sexe qu'elle sentait ruisseler ! Mais elle n'arrivait pas à se rendre compte si c'était par le récits sur les pervers projets sur sa grande soeur ou les caresses sur ses cuisses qui inconsciemment et progressivement s'écartaient.
 
Elle était sidérée par le sérieux de leurs propos lorsqu'ils apprirent qu'elle pratiquait l'allemand en première langue depuis le collège ! Elle échangea quelques mots en allemand avec Katia et Ernst qui se montrait de plus en plus audacieux aves sa main fourrageant dans les poils pubiens que nul slip ne dissimulait !
Ce fut lui qui toucha le premier le clitoris dardé de la jeune fille qui poussa un léger soupir bien remarqué par les autres qui se doutaient de ce qui se passait devant eux. Marie, toujours à genoux par terre -elle avait mal d'ailleurs- était partagée, sa soeur semblait bien partie pour être entrainée dans les mêmes jeux pervers que Marc lui faisait connaître depuis plusieurs mois !
 
Ils étaient loin d'être seuls dans la salle mais Florence se laissa faire totalement lorsqu'Hervé lui prit une jambe pour la poser sur la sienne ! Elle écarta elle-même l'autre en direction d'Ernst et fut complêtement écartelée ! Hervé la pénétra de deux doigts, Ernst continua de la masturber au clitoris ; le serveur qui vint à ce
moment n'en perdit pas une miette même s'il était habitué à de telles situations et même si la fille lui semblait bien jeune malgré sa grosse poitrine !
 
A ce moment, en riant, Brigitte décida d'emmener Marie dans les locaux du sous-sol "pour la punir de laisser sa petite soeur se faire débaucher ainsi devant tout le monde" !
- Vas-y! elle est à toi ! Fais-en ce que tu veux ! dit Marc en souriant en lui donnant la laisse.
- A tout à l'heure ! Elle accrocha la laisse aux anneaux de la chatte de Marie !
Elle se fit entrainée ainsi, honteuse de cette humiliante sensation mais ses mamelons complétement dressés sous son chemisier transparent la trahissait. Elle jeta un rapide regard vers sa soeur qui ne se gênait plus, haletante, et vit qu'Hervé avait complétement dénudé un sein et qu'il le pressait fortement, pincant le téton ; elle entendit vaguement qu'il lui parlait d'anneaux ...
 
Florence ne savait plus où elle était, doigtée, branlée, un sein caressé, sa soeur partie tenue en laisse elle ne savais où, et son voisin de gauche lui faisant des propositions qu'elle pensait réservées à sa soeur !
 
- Je suis trop jeune , c'est pas possible ! Vous pouvez pas ! essaya-t'elle de leur faire comprendre ...
 
- Tu as raison ! dit l'allemand qui lui caressait toujours le clitoris mais avait dénudé le second sein. Florence avait maintenant la poitrine à l'air devant une assemblée qui s'était réduite depuis leur arrivée mais qui était attentive devant le spectacle proposé !
Elle entendit Katia lui proposer de venir avec eux durant les mois de vacances d'été pour parfaire son allemand.
- Tu verras, c'est le meilleur moyen !
- Oui, j'aimerais bien mais...faut que mes parents ... veuillent bien ! Elle avait du mal à parler complétement excitée par les doigts de ses tourmenteurs !
- Bien sûr ! poursuivit l'allemande. - Et tu sais que tu pourrais passer une année scolaire chez nous, il y a un systême pour cela, et on connait du monde !
- Oui, mais mes parents ? Je suis pas majeure ? Oh!! Arretez ! Vous me rendez folle !
Elle n'en pouvait plus de ces caresses et était de plus en plus prête à tout ! Quelle rapidité ! elle n'était à Paris que depuis quelques heures et elle se faisait caresser par de parfaits inconnus pour elle !
- On s'arrangera, ne t'en fais pas !
A ce moment Florence jouit, les deux hommes s'en apercurent et cessèrent leurs caresses appuyées.
- alors c'était bon Florence ? demanda Hérvé.
Rougissante, elle répondit que oui.
- Alors il faudrait peut-être songer à nous remercier, ne crois-tu pas ? renchérit Ernst comme dans un discours bien rôdé !
- Oui. bafouilla l'adolescente ; se doutant un peu de la suite.
- As-tu déjà sucé des queues ?
- Florence en avoua une, simplement une.
- Une seule ? Je pense que tu vas t'améliorer rapidement.
Hervé la prit gentiment par le bras, ses gros seins ballotants, et proposa aux autres de rejoindre sa femme. Tous se levèrent et Florence put enfin voir le bas de la tenue de Katia : une micro jupe, des jambes nues sur des plates-formes vertigineuses de 18cm de haut qui compensaient largement une taille moyenne. Cette femme d'environ quarante cinq ans était magnifique.
Florence n'eut pas le droit de refermer son haut et c'est seins à l'air qu'elle traversa la salle, finalement pas génée, se rappelant des souvenirs de collège où elle montrait sa déjà grosse poitrine à ses petits copains de classe et d'ailleurs !
 
Ils rejoignirent sa grande soeur et Brigitte, bien occupées, surtout la seconde...

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille
Vendredi 11 mars 5 11 /03 /Mars 22:39

Chapitre 6
 
Marc et Marie attendaient gare Montparnasse l'arrivée de la benjamine.
A cette époque Florence venait d'avoir 16 ans et pour elle, au lycée, c'était déjà les vacances en ce mois de juin. Pour la première fois depuis six ans elle venait à Paris, autant dire que c'était une découverte. Elle savait que sa soeur avait un copain et avait hâte de le voir, Marie n'en ayant fait que des compliments. Elle lui avait aussi dit qu'il ne fallait pas qu'elle s'étonne si elle parraissait un peu changée.
 
- Changée ? Changée comment ? tu veux dire quoi ? lui avait-elle demandé au téléphone la veille de son arrivée.
- Euh, changée un peu au niveau des fringues, on est à Paris, pas chez nous, et puis les parents sont pas là...
- Quoi, tu t'habilles sexy maintenant ? Non, j'y crois pas, ma grande soeur qui met des minis...C'est ton mec qui te l'a demandé ?
Marie quand même gênée :
- Euh...oui, alors ne t'étonnes-pas, tu verras demain.
- Ah bah ca alors ! se dit Florence en racrochant.
 
 
- Ah bah ca alors ! se dit Florence en descendant du train avec ses deux valises en apercevant sa soeur dans le hall.
Elle s'attendait à voir sa soeur en mini jupe par ce temps, mais pas comme cela, pas telle qu'elle la voyait.
Cette dernière avait en effet fait fort. Perdant encore certaines inhibitions sans que Marc insiste trop, risquant de plus en plus l'attentat à la pudeur, elle était partie accueillir sa petite soeur vétue de sa plus petite jupette qui lui arrivait au raz des fesses, les jambes nues, sans bas, le débardeur noir faisant ressortir la moitié de ses seins blancs et mettant encore mieux en vue son
collier. ce qui ne se voyait pas était le plug anal qui la
garnissait entièrement. Sa soeur et elle faisaient à peu près la même taille mais ses escarpins de 14 cm l'obligea à se pencher légérement pour l'embrasser.
- Ouah ! Marie, tu fais fort ! Tu veux montrer tes fesses à tout le monde ? Et puis le haut, tu montres ta poitrine maintenant ? Je croyais que tu avais honte de tes gros lolos ?
- Et bien tu vois ! apparemment plus ! tiens, je te présente Marc.
- Marc, je te présente Florence, ma petite soeur.
- Bonjour ! dit-il. Marie m'a beaucoup parlé de toi.
- Moi aussi Marie m'a beaucoup parlé de vous.
- Ah bon ? Et jusqu'à quel point ? ajouta-t-il en faisant un petit sourire discret à Marie.
- Oh, que du bien !
- J'espère bien ! finit-il.
- On y va ? coupa Marie qui était le centre des regards de la plupart des gens passant près d'eux.
Ils partirent rejoindre la voiture de Marc.
Florence vit que sa soeur relevait sa micro jupe pour s'assoir directement sur ses fesses à côté de Marc. Elle ne dit rien mais commenca à regarder sa soeur d'un autre oeil...
 
Arrivés chez Marie, elle aurait eu besoin de plusieurs autres oeils pour ne pas percevoir l'évolution de sa soeur. Cette dernière, sous les ordres de son amant qui était parti quelques minutes pour les laisser seules avant d'aller diner, lui montra sa garde robe et Florence s'aperçu vite de la teneur de celle-ci.
- Et bien Marie, tu as bien changé, je ne vois que des trucs raz la touffe ! Je me trompe ?
Marie lui répondit en rigolant :
- Pas tout à fait ?
- Pourquoi tu dis cà ?
- Parce que j'ai plus de touffe !!!
- Hein ?
- J'ai plus de touffe ! répéta-t-elle
- Quoi ? t'es rasée ? J'y crois pas, vas-y montre !
Marie n'était pas étonnée par la curiosité de sa petite soeur, mais elle hésitait à montrer son sexe annelé.
- Tu es sûre de vouloir voir, tu vas avoir une surprise !
- J'aime les surprises, tu sais bien grande soeur !
Marie prit sa mini jupe et la commenca à la remonter doucement ...
- Attends ! La fenêtre ! Les rideaux sont ouverts !
- Et alors ?
- Et alors on va te voir !
- Oh, tu sais, ca fait plusieurs mois que les rideaux sont ouverts et que je me balade à poil dans l'appart'.
- Ah bon ? t'as vraiment changé ! dit-elle en souriant
- et si je te dis qu'avec Marc on baise un peu partout ici et en particulier devant les fenêtres ?
- Non ? vous faites ca ? Mais t'es vraiment devenue une salope !
 
Marie était partagée entre le rire et la gêne.
 
- Bon, allez poursuivit sa petite soeur, montre moi la surprise.
 
Marie reprit son mouvement dos à la fenêtre, puis brusquement se tourna, présenta son dos à sa soeur qui découvrit ...une absence ...
 
- Quoi ? t'as pas de culotte sous cette jupe ?
- Non, je mets plus de culotte sauf quand j'ai mes règles !
Marie présentait ses fesses à sa soeur, elle sa tourna les mains sur le pubis.
- Allez, montre moi, tu dois avoir une chatte de bébé !
- Y a pas que ca ! ajouta Marie.
Elle leva ses mains et présenta son abricot percé à sa soeur ...
-Ouaahh ! T'es percée ! Putain, les anneaux ! Si j'avais su que ma grande soeur se serait fait percée un jour ...
Elle se mit a genoux, la tête à trente cm de Marie qui sentait sa chatte mouiller !
- Je peux les toucher ?
- Vas-y p'tite soeur ! Marie était de plus en plus troublée et ne put s'empêcher de se toucher un sein ! En même temps elle fit glisser sa mini à ses pieds.
Florence, délicatement, prit les anneaux dans sa main, les soupesa ; cela fit des sensations à sa soeur.
- Rien que les toucher ca te fait de l'effet ? et bien dis donc !
Sans s'en apercevoir, Marie avait reculé jusqu'à la fenêtre et présentait maintenant ses fesses nues collées à la vitre ! Elle en était consciente mais s'en fichait, tellemeent troublée par les doigts de sa soeur !
 
Nul ne sait jusqu'où cela aurait pu se poursuivre lorsque le téléphone sonna. Marie, reprenant ses esprits alla décrocher sans remettre sa jupe.
C'était Marc qui les invitait à diner et qu'il fallait qu'elles soient prêtes dans vingt minutes. il ajouta qu'ils allaient dans un restaurant un peu libertin et qu'il voulait qu'elle soit la plus provocante de la salle !
- Mais il y a Florence ? Elle n'est pas au courant ! Et elle n'a que 16 ans n'oublie-pas ! Y vont pas la laisser rentrer, on va avoir des ennuis.
Il lui répondit qu'il connaissait le patron et que Florence faisait plus que son âge.
- tu exagères quand même, le premier soir, on aurait pu rester au calme !
Marc lui dit qu'il fallait battre le fer lorsqu'il était chaud et qu'il voulait percevoir rapidement les dispositions de Florence qui n'était peut-être pas aussi délurée qu'il le pensait !
Marie sourit car s'il avait vu les dernières minutes passées ...
Il ajouta qu'elle pouvait lui proposer des affaires à elle...
- je m'en doutais ! Et si elle ne veut pas ?
Marc raccrocha sans ajouter le moindre mot.
 
- Tu parlais de moi ? Tu disais que je n'ai que 16 ans, pourquoi ?
Marie, toujours nue à partir de la taille lui expliqua la
proposition de son amant.
- Ouaah, il est un peu pervers ton copain ! Tu ne lui a pas expliqué que j'avais faillit me faire virer du collège parce que je montrais mes nénés à tout le monde ?
- Non, pas encore, tu le lui diras toi même ! par contre, moi, j'ai des trucs à t'expliquer ...
 
 
Vingt minutes plus tard, Marc sonna.
Il attendait dehors lorsque Florence et sa soeur sortirent.
Il ne s'attendait pas à cela.
Les deux jeunes femmes avaient chacune un long manteau qui cachait leur corps mais il fut réellement surpris lorsqu'il vit que Florence tenait en laisse sa grande soeur par son collier !
Intérieurement, il ne pu s'empêcher de se dire qu'elle aurait pu accrocher la laisse aux anneaux de son sexe ; il revint vite à la réalité.
- Et bien, ca va vite ! La grande soeur qui se fait guider par la môme !
- Ca te plait mon chéri ! Tu voulais que je sois provocante au restaurant, est-ce que ca va ?
Elle écarta les pans de long manteau. Marc banda instantanément.
Marie était vraiment transformée ; elle n'aurait pas oser d'elle-même il y a en encore quelques semaines. Juchée sur des cuissardes avec ses plus hauts talons de 15cm, elle n'avait sur elle que des bas à résille reliés à un porte jarretelles faisant encore plus ressortir sa peau blanche et son sexe annelé rempli par un god ; il vit par la suite que son cul était aussi garni ! son buste n'était couvert que par un chemisier complétement transparent laissant voir son orgueilleuse poitrine ! Elle allait faire sensation durant la soirée même si l'invitée d'honneur était la petite soeur ...
La petite soeur qui officiellement avait 16 ans, mais il y en avait-il beaucoup de son âge qui sortaient en tenant en laisse leur grande soeur ? Et qui tenait difficilement en équilibre sur les cuissardes aux talons de 10 cm que la même soeur lui avait prêté comme la micro jupe moulante recouvrant à peine des jambes aussi gainées de résille et d'un haut décolleté jusqu'au nombril dévoilant une poitrine que Marc trouvait plus volumineuse encore que celle de la grande soeur !
 
- Eh bien Florence, je vois que ta soeur t'a vite mis au parfum !
Florence referma les pans de son manteau car des gens passaient ; Marie ne bougea pas, exposant son corps à des sourires et des légers commentaires sous les yeux effarés de sa soeur !
- Tu fais l'offusquée ? dit Marc -Tu as vu comment vous êtes fringuées ? Surtout ta soeur qui est de plus en plus une vraie salope !
- Je sais, mais là dans la rue ...
- Dans la rue ? tu veux que je dise à ta salope de soeur d'enlever son manteau et de marcher jusqu'au coin ? Même s'il n'est que neuf heures elle le fera ! N'est-ce pas ma chérie ?
- Euh, oui ... maître ! répondit Marie devant sa petite soeur qui ne doutait plus des rapports sado maso de sa soeur avec son amant.
Ca lui faisait de l'effet aussi à elle et elle se demandait si elle serait capable de se balader à poil ou presque en pleine rue ! Elle portait déjà une tenue si sexy qu'elle allait devoir dévoiler à d'autres dans un restaurant, même libertin !
 
- Les vacances commencent bien ! se dit-elle
- Cette petite promet encore plus que la grande ! se dit Marc en la voyant par le rétroviseur intérieur relever d'elle-même sa jupe pour s'assoir sur le siège de la voiture. Elle le remarqua et lui sourit, le bout de sa langue pointant sur ses lèvres.
il ne pu résister, et porta sa main droite en conduisant entre les cuisses de Marie pour la caresser.
- Retire ton god !
Marie minauda qu'ils n'étaient pas seuls et qu'elle ne voulait pas effaroucher l'adolescente derrière eux !
Ils ne voyaient pas que Florence, depuis le démarrage, avait passé ses mains entre ses cuisses et se caressait le clitoris !
- Ne vous occupez pas de moi !
En riant, Marie enleva son god.
- mets-le dans ta bouche et suce-le!
Marc ajouta qu'elle devait le garder ainsi quoiqu'il arrive !
Pendant ce temps il caressa sa jeune amante.
il se dit que la soirée promettait et que cela allait beaucoup plus vite que ce qu'il avait préalablement escompté.
Ses amis à qui il voulait présenter Florence allaient être enchantés, ils avaient eux aussi des projets ...
 
Ils arrivèrent devant le restaurant; Marc avait trouvé une place pour se garer à 200 mètres environ et c'est tenue en laisse par lui que Marie parcouru la distance ; une dizaine de personnes les croisèrent, elle s'habituait de plus en plus à cette situation humiliante, mais il arriverait bien un jour ou un soir où quelqu'un de ses connaissances la verrait comme cela, et alors ...
 
Ils rentrèrent dans le restaurant, déposèrent leurs manteaux à l'accueil et Marc remit la laisse dans la petite main de Florence.
- Tiens, vas-y ! Les deux soeurs ensemble ! Vous allez faire sensation !
Florence était gênée, mais elle ne savait pas si c'était par le fait de tenir en laisse sa grande soeur quasiment nue dans une tenue plutôt fétichiste ou d'arborer elle-même une tenue plus que sexy pour la première fois devant une bonne trentaine d'inconnus ! En tout cas, elle sentait son ventre s'humidifier ...
 
Elles rentrèrent ...

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