Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 19:48

Chapitre 5
  
- Bonjour Marie !
C'est Brigitte qui l'accueillit en l'embrassant sur la bouche. Marie lui rendit le baiser en lui donnant sa langue. Marc fit de même.
- Pendant que je la prépare, tu peux peut aller voir Hervé.
- Bien, tu en as pour combien de temps ?
- A peu près une demi heure ... si on ne fait pas de bétises ! dit-elle d'un air mutin !
Marc laissa les deux femmes.
- A poil ! Je vais te faire un minou vraiment tout lisse, tu verras, ca va te changer beaucoup de sensations.
Marie rougit et suivit Brigitte dans une autre pièce.
 
Une heure plus tard, celles-ci rentrèrent dans le bureau d'Hervé.
 
- Enfin ! Ce n'est pas trop tôt ! On commencait à s'impatienter ! dit ce dernier en voyant arriver sa femme tenant en laisse par son  collier la pauvre Marie complétement nue à quatre pattes !
- Cette petite a décidément une langue pas possible et je me suis fait faire une petite gaterie ! minauda-t-elle
- Je m'en doutais ! Je l'avais dit à Marc que tu n'aurais pas pû t'empêcher !
- elle est tellement appétissante !
 
- Bon, on va passer aux choses sérieuses !
Ils la firent s'allonger sur une table médicale, en profitèrent pour regarder ce sexe dorénavant lisse.
Marie ressentit une petite douleur lorsqu'Hervé lui perca les lèvres pendant que son amant lui caressait le crâne en lui souriant.
Il lui mit des petits anneaux provisoires, le temps de la cicatrisation pour ne pas prendre de risques.
- Revenez dans cinq jours, on lui placera ses anneaux définitifs !
Avant de partir Marie lui fit une pipe et elle avala tout comme Marc lui avait donné dorénavant l'habitude.
 
En rentrant chez elle, elle ressentait le frottement de ses anneaux provisoires et se demandait quelles sensations elle allait avoir avec des anneaux plus massifs et pesants...
 
Pendant ces jours, Marc laissa tranquille son vagin mais se rattrapa largement par sa bouche et surtout son anus. Quotidiennement sodomisée, il l'obligea à garder quasiment tout le temps un plug bien enfoncé dans son cul. Elle alla passer un examen écrit ainsi garnie, bien retenu par une lanière autour de ses reins. Depuis quelque temps ses tenues retenaient l'oeil égrillard des étudiants et les grimaces de la plupart des étudiantes ; plusieurs fois elle avait entendu les mots "salope" ou "pute" dans son dos, mais elle s'en fichait. Elle n'avait pas d'amis ici, de simples connaissances, sans plus. Toutefois, elle s'interrogea quand même sur la tenue que son amant voulait qu'elle mette pour aller passer un oral.
 
- Tu ne crois pas que c'est trop ? Je vais passer pour qui ?
- Oh ? tu sais, je crois que ta réputation est déjà faite ma chérie !
- Peut-être, mais là c'est un oral ! Ca va jaser !
- Et bien qu'ils jasent !
 
Marie, soumise, alla passer cet oral juchée sur de nouvelles cuissardes aux talons de quinze cm, les cuisses nues avec une mini jupe en cuir évasée lui couvrant tout juste les fesses engodées par
un phallus de 5cm de diamètre. En haut un chemisier sans manches avec un décolleté laissant plus de la moitié de ses gros seins nus, presque aux auréoles. Elle aurait fait bandé un mort !
 
Quelques jours après,ils retournèrent chez leur ami médecin, toujours aussi provocante, toujours aussi engodée !
 
Marie se prêta à tout ; elle vit la pose de ses nouveaux anneaux, Marc les lui fit soupeser, les trouva gros et lourds. Un peu plus tard elle ressortait, sentant leur poids un peu étirer ses lèvres.
Marc, la tenant par la main, jubilait ; Les gens qu'ils croisaient voyaient sa compagne vêtue de manière plus que sexy mais ne pouvaient se douter qu'elle avait un god enfoncé dans le cul et des anneaux de 3cm dorénavant accrochés à ses chairs les plus intimes !
 
Ils avaient rendez-vous le soir-même avec Brigitte et Hervé au restaurant.
Le soir venu, Marie fut un peu surprise -décue ?- de ne voir que le mari. Par contre il vint accompagné d'un autre homme, un peu plus agé.
- Ainsi c'est elle la petite Marie ?
Marc fit les présentations sans trop s'attarder.
Durant le repas dans ce restaurant assez réputé, Marie ne sut très vite quelle attitude adopter puisqu'on ne cessa de parler d'elle sans lui demander son avis. Rougissante, lorsque Marc encore une fois de plus devant un inconnu raconta sa vie privée et ses diverses exhibitions, tremblante lorsqu'ils parlèrent de ses futurs piercings, sur les différents types de tatouages qu'ils voulaient voir sur elle avec force de détails sur leurs tailles, leurs localisations, frémissante lorsque Marc évoqua de nouveau le projet de la tondre totalement. Mais là où elle fut la plus genée c'est lorsque la discussion revint sur sa soeur.
 
- Elle arrive après-demain ! dit Marc
- Pour combien de jours ? C'est bientôt les vacances ! s'exclama Hervé
- Justement on ne sait pas, Florence ne connaît pas Paris et sa soeur lui a proposé de profiter des vacances pour visiter la capitale.
- Tu pourras lui faire visiter le bois de Boulogne, il parait que tu connais bien maintenant!
C'était le nouveau qui fit rire les deux autres ; Marie consentit à sourire et demanda pourquoi ils s'intéressaient tant à une gamine de seize ans !
 
- Parce qu'elle est de ta famille et on voudrait savoir si elle est aussi salope que toi ma petite chérie ! lui dit Marc, assis à côté d'elle, en lui caressant la joue d'une main et plongeant l'autre entre les cuisses largement dévoilée de sa compagne.
Marie, instinctivement, écarta celles-ci, laissant la main de Marc jouer avec les anneaux !
- Ca l'excite on dirait !
 
Marie se laissait caresser devant les deux autres, leur table étant un peu cachée ; on voyait ses tétons s'ériger au rythme de la masturbation exercée.
 
- Arrête s'il te plait ! On est en plein restaurant !
- Et alors ? Tu veux passer sous la table ?
Ne sachant s'il était sérieux ou non, Marie se tût.
Il la fit jouir. Le repas prit fin, mais pas la soirée.
 
Les trois hommes se mirent d'accord pour emmener Marie dans un club privé de leur connaissance. En sortant de la voiture, Marc attacha une laisse au collier de sa maitresse ; là encore trois personnes la virent tenue comme une chienne, elle n'arrivait pas à vraiment s'y faire !
 
A peine arrivés, au vestiaire, ils la firent mettre nue excepté ses cuissardes et son collier et la firent rentrer dans l'antre ! Elle s'apercut très vite au décorum qu'ils l'avait emmené dans un boite spécialisée dans les jeux sado-masochistes. elle vit ici et là un homme se faire fouetter, une femmme au tétons annelés subir (?) le
même sort, une autre recevait de la cire de bougie sur le torse, plus loin une autre, aussi jeune qu'elle par l'apparence se faisait prendre par trois hommes en même temps. Elle se laissa faire lorsque Marc l'attacha à un portique les bras levés. Ses trois accompagnateurs s'assirent pour boire, contemplant le corps exposé de la jeune femme.
 
- Elle est vraiment très bien ! J'ai rarement vu une aussi grosse poitrine chez une jeune comme elle ! dit l'homme rencontré au restaurant.
- C'est de famille, je l'ai déjà dit ! quand tu vas voir sa soeur ...
- Et quand la fais-tu anneler aux seins ?
- Bientôt, je voulais la laisser se reposer après son baptême avec ceux de ses lèvres !
- Ah oui, ca lui va bien, tu lui mettras plus petit ou plus gros au clito ?
- J'hésite justement ; un peu plus gros serait bien pour la tirer avec la laisse vous ne croyez pas ?
 
Marie, malgré la musique, entendait presque tout ....et cela la faisait mouiller. elle avait toujours aimé les bijoux, en porter sur le corps l'excitait, c'était le percement qu'elle appréhendait !
 
 
Attachée, elle ne pouvait que subir les mains qui se portèrent sur elle par de parfaits inconnus qui ne génèrent pas pour lui pincer les tétons, jouer avec ses anneaux génitaux, introduire plusieurs doigts dans sa chatte dégoulinante, retirant et rentrant le god la pénetrant dans l'anus.
Hervé se levant après ce spectacle prit un martinet et commenca à strier de marques le corps de la jolie suppliciée ! Elle cria, excitant encore plus l'assemblée. Les coups s'abbatirent sur ses fesses, son dos et son buste, Marc refusant qu'on s'en prenne à ses cuisses, le temps n'étant pas encore venu pour qu'elle arbore de
jolies marques en dessous de ses affriolantes petites jupes.
 
Plus tard, ses trois hommes de la soirée la prirent ; cette fois-ci son vagin resservit après quelques jours de repos , elle sentit les verges écarter les lèvres et toucher ses anneaux ; elle en fut plus troublée encore. Puis elle crut que toute la boite la pénétra !
Epuisée, elle dû ensuite devant plusieurs personnes lécher les chaussures de ses trois amants.
- Allez ! Lêche-bien pour nous remercier de bien nous occuper de toi !
Marc se délectait de voir sa jeune maitresse à ses pieds, soumise comme il le voulait.
 
- Tu vas voir, ce club va bientôt être ta deuxième maison !
 
Les quatre repartirent, mais contrairement à ce que pensait Marie, ils ne rentrèrent pas directement, prenant la direction du Bois.
Marie, toujours nue dans la confortable voiture au vitres fumées car on ne lui avait rien donné en partant, se dit que la soirée n'était certainement pas terminée...
 
En effet, les quelques voyeurs encore présents à cette heure tardive eurent la chance de voir une très jeune femme descendre nue de la voiture, juchée sur des cuissardes effilées, percée au sexe, le corps strié de marques qui se voyaient quand même à la faible lueur des lampadaires, la volumineuse poitrine en avant. elle sembla encore plus imposante lorsque Marc l'obligea à marcher à quatre pattes avec ses cuissardes exposant encore mieux son anus toujours garni !
 
Plus tard, c'est encore à quatre pattes qu'elle dut monter les trois étages la ramenant chez elle ; ses pieds étaient en compote, les talons n'étant pas fait pour cela. Toute nue, elle avait peur de rencontrer un voisin comme l'autre fois, même si à près de quatre heures du mat c'était peu probable.
 
Un fois rentrés, Marc lui fit un bilan de la soirée.
- as-tu compté le nombre de bites qui ont fait ta connaissance ce soir ma petite chérie ? lui dit-il en la mettant sous la douche.
- J'en peux plus ! Une vingtaine à peu près !
- un peu plus ! Quatorze au club, et j'en ai compté neuf au bois !
C'est bien, vingt trois plus nous trois, ca fait vingt six pour la soirée !
- Vingt six queues en une soirée ? T'es en train de faire de moi une vraie pute !
- Peut-être, mais avoue que ca te plait !
Marie, le fixant dans les yeux avec un petit sourire, dut le reconnaître.
- Oui, j'aime le sexe ! Tu es en train de me faire connaître des sensations extraordinaires ; en plus avec ces anneaux....poursuivit-elle en jouant avec ...ca me fait tout drôle...
- alors vivement que tu aies ta collection complète !
Marie l'embrassa amoureusement. Avant de se coucher, ce fut elle qui l'entraina devant la fenêtre de la chambre, et les jambes écartées, les mains sur les carreaux s'ouvrit à lui !
- Viens mon chéri...viens mon ...maitre...prends-moi, déchire-moi devant la France entière, attendant la queue de son amant-maitre, elle titilla son clitoris, regardant d'un regard lubrique la rue en dessous et les fenêtres en face ! Ah ce qu'elle aurait aimé avoir de multiples spectateurs à ce moment, mais il était vraiment tard et leur accouplement se fit sans témoin.
Marc, excité par l'audace de Marie, voulu l'entrainer sur de prochains projets.
- Ferais-tu la même chose beaucoup plus tôt ?
- Oui...répondit-elle
- Et en plein jour ?
La chatte remplie par la queue coulissante de son amant et ses seins triturés, Marie délirait presque !
- oui, avec des anneaux à mes grosses doudounes, avec des anneaux partout, et tondue pour que tout le monde voie bien que je suis une petite salope !
- Et la fenêtre ouverte ?
- Ooouuuiiiii ! Et ca on peut le faire tout de suite !
Laissant un instant son clito, elle ouvrit la fenêtre en grand et s'accouda au rebord.
- Vas-y, enfonce moi ta queue encore plus profondément, t'es content ? J'm'en fous du monde !
Marc, plus qu'excité porta l'estocade.
- Et devant ta soeur ?
Un court instant silencieuse Marie enchaina.
- Oooouuuiiiii ! Tu le veux vraiment ? Et bien on le fera, elle sait bien que je ne suis plus vierge !
A cette réponse Marc éjacula dans sa jeune maîtresse !
 
Le lendemain matin, enfin vers midi, Marc se reveilla, sucé par Marie.
-Très bien ma chérie, très bonne initiative !
- Tu fais de moi une vraie nympho ! J'ai tout le temps envie d'une queue !
- J'espère bien ! J'espère bien ! Même de plusieurs ! Et aussi de belles petites chattes féminines.
- Je ne connais que celle de Brigitte !
- Bientôt tu en connaitras d'autres crois-moi ! Et celle de ta petite soeur tu en dis quoi ?
- Ca va pas ! Je veux bien qu'on fasse des choses devant elle, ca peut être rigolo mais faut pas exagérer !
- On verra, on verra, car quand tu es lançée ...
- Non, j'ai dit non !
- Bon, d'accord, elle arrive tout à l'heure par le train ?
- Oui, à 18h12 exactement !
- On a le temps ! Comment comptais-tu te fringuer ?
- Comme quand je vais voir les parents !
- C'est différent, on est à Paris, tu es chez toi, j'aimerais te voir autrement...
- Je m'en doutais un peu ! alors c'est mini, talons et nénés en vue si je comprends bien ?
- Oui ma chérie ! Ca n'a plus l'air de te gêner on dirait ?
 
Marie lui dit alors qu'avant de le connaître sa petite soeur lui disait souvent qu'elle ne savait pas s'habiller un peu sexy alors que de son côté elle le faisait depuis quasiment son entrée au collège !
- Tu me l'avais pas dit ma p'tite cochonne !
- Je n'osais pas, tu m'as libéré, je voudrais le montrer à Florence !
 
Marc avait vraiment hate de rencontrer la petite soeur !

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille
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