Jeudi 24 février 4 24 /02 /Fév 00:38

Chapitre 4
  
Durant plusieurs semaines Marie pu prendre conscience de sa féminité et de l'attirance qu'elle suscitait chez les hommes. Hésitante au début, elle prit très vite de l'assurance, audacieuse au grand plaisir de son amant.
Il est vrai que ses jambes étaient remarquablement bien mises en valeur par la légereté de ses robes ou jupes, sous n'importe qu'elle température. Elle se demandait toutefois comment elle allait faire durant l'hiver. Elle ne se demandait par contre plus comment marcher sur des talons de neuf ou dix cm, et avait désormais une démarche bien chaloupée qui faisait osciller ses gros seins la plupart du temps complétement libres sous des chemisiers ou débardeurs bien décolletés. Elle se fit plus draguée en ces quelques semaines que pendant toute sa vie passée !
- Je ne suis pas libre ! leur disait-elle le plus souvent en souriant.


S'ils savaient que sous ses mini jupes elle portait quasi systématiquement un godemichet introduit dans son sexe, "pour t'habituer à être remplie" lui avait dit son amant !
Au début elle avait eu peur de le faire glisser, mais cela allait.
 
De plus en plus souvent il l'attachait pour faire l'amour. Son collier ne la quittait quasiment plus, ce qui laissait occasionner certaines questions sur son style de vie avec ses tenues toutes en noir. Chez elle, plusieurs fois elle vit qu'on l'observait des fenêtres en face. Elle se disait que son collier, ses bas et hauts talons en disaient plus que la nudité complète.
 
Un soir, il lui annonca la visite d'amis à lui et lui demanda de mettre ce qu'il avait préparé pour elle sur le lit de la chambre.
 
elle revint quelques minutes après.
-Je dois mettre tout ca ?
- Oui ! Je pense que ca t'ira très bien ma petite chérie !
- C'est un peu osé quand même ?
- Osé ? Tu as vu comment tu te balades depuis quelque temps ?
- Oui, mais là c'est devant tes amis !
- Justement, ce sont mes amis, ils me connaissent bien, connaissent bien mes goûts et en partagent certains, ne t'en fais pas ! Allez, vas-y !
Marie obéit.
 
Vingt minutes après les invités sonnèrent.
Il y avait un couple d'une quarantaine d'année et un homme seul un peu plus jeune.
L'entrée de Marie ne passa pas inapercue mais personne ne fit de commentaires.
- Je vous présente Marie ! dit son amant.
Trébuchant presque sur ses nouveaux talons de 14cm de haut elle salua les amis de ce dernier ; elle avait pour l'occasion une mini jupe de cuir lui arrivant au raz des fesses, laissant une large part de ses cuisses à l'air, ses bas résilles ne montant pas jusqu'en haut. Plus haut justement, Marc ne lui avait permit qu'un léger débardeur à mailles laissant aisément voir sa grosse poitrine.
 
Marie fut très vite rassurée par la discussion culturelle et mondaine qui s'ensuivit. Pourtant, très vite, trop vite à son goût, Marc dévia la conversation vers elle, racontant leur vie, dans la moindre intimité, parlant de ses projets. ainsi Marie apprit que l'homme marié était médecin lorsqu'ils évoquèrent les idées de piercings.
- Si tu veux j'ai aussi un très bon copain tatoueur, il pourra s'occuper d'elle, qu'en dis-tu ?
- C'est prévu, mais on verra plus tard.
- En attendant c'est bien de se montrer presqu'à tout le monde mais est-ce qu'elle passe à l'acte ?
 
C'était l'autre homme qui s'exprimait.
 
- Marie, lève-toi s'il te plait ! dit son amant.
Marie obéit.
- Agenouille-toi devant Jérome et sors sa queue !
De plus en plus troublée elle poursuivit.
- Prends-le en main ! Branle-le !
 
Marie prit vite une certaine assurance.
- Approche-toi, prends-le dans ta petite bouche !
Elle prit le sexe et commenca à sucer !
 
elle ne se rendit pas tout de suite compte que l'autre homme avait baissé son pantalon et présentait son sexe bandé devant sa main droite.
- Tu as un autre invité ma chérie !
 
A son tour elle le masturba, puis alternativement le prit en bouche avec l'autre. C'était une nouvelle sensation pour elle ! Deux queues ! Et celle de son amant ? Que faisait-il ? Il prenait des photos !
 
Jérome se retira avant de jouir, passa derrière Marie, eut peu à relever et introduit son sexe dans la chatte rasée et luisante de la jeune femme.
- Ne t'en fais-pas ils sont sains ! Je réponds d'eux ! lui dit Marc.
 
La femme d'abord spectatrice s'était lévée et présenta à Marie en relevant sa jupe un sexe épilé avec un petit anneau au clitoris.
 
- Lèche ! ordonna-t'elle
C'était encore nouveau pour la pauvre Marie qui se retrouva pénétrée d'un sexe, faisant un cunnilingus, et masturbant le mari ... et son amant qui à son tour avait sorti son sexe.
 
Durant l'heure qui suivit elle fut pénetrée par tous ses orifices, ses tétons pincés, le martinet fut de sortie, ses longs cheveux tirés !
-Profite-en ! Bientôt elle aura la boule à zéro ! dit son amant en riant.
 
Récupérant en prenant un café, ils échaffaudaient des projets. Le couple de médecin était très interessés par la venue prochaine de la petite soeur !
- Si elle est comme la grande soeur, y aura des choses à faire !
- Elle vient d'avoir 16 ans, vous ne pouvez pas ! dit Marie.
- D'après les photos elle fait plus, tu as vu ses nichons !
- C'est de famille, regardez les photos de sa mère ! poursuivit son amant.
- Ah oui, il faudrait qu'ele vienne faire un tour à Paris aussi, même avec le mari !
 
- Bon, il n'est pas trop tard encore, si on allait faire un tour ?
- Où ca, au Club ? demanda son amant.
- Non, je pensais qu'on aurait pu emmener notre petite amie faire de nouvelles connaissances en plein air ?
- Au bois ?
- Oui !
Comment habille-t'on notre petite salope ? Est-ce qu'on l'habille d'abord ?
- Oui, on l'emmenera à poil quand elle aura tous ses piercings et ses tatouages !
- A ce propos, on est désolés, mais avec Brigitte on va devoir y aller, j'ai des rendez-vous très tôt demain matin, mais ce n'est que partie remise. Par contre tu peux me l'amener demain en fin d'après-midi pour la percer.
- OK, on commencera par ses lèvres, je t'expliquerais pour la suite ; je voudrais que cela soit prêt quand sa soeur sera là ; la cicatrisation prendra du temps ?
- Non, même si demain je mettrais des anneaux provisoires ; tu voudras quel diamètre ?
- Assez gros, trois cm et un demi d'épaisseur !
- pas de problèmes, allez, au revoir !
 
Il embrassa Marie sur la bouche qui lui donna sa langue, sa femme fit de même en lui sussurant que demain soir ce sera elle qui l'épilera.
- ...définitivemment, au laser, tu verras tu aura une chatte de petite fille tout le temps, c'est encore plus excitant !
 
Marc prépara Marie pour la sortie.
elle remit la même minijupe de cuir, le même débardeur.prit une laisse qu'il accrocha à son collier et ils sortirent ainsi.
 
Il était à peine une heure du matin, mais pas de chance, ils croisèrent dans l'escalier un couple voisin. Marie était cramoisie, les deux hommes, très naturels, saluèrent le couple. Marie comprit que sa réputation dans l'immeuble allait en prendre un coup car il y avait une différence entre porter des tenues sexy et être tenue en laisse quasiment nue avec deux hommes ! Curieusement elle se sentit excitée.
 
Ce n'est pas le court déplacement qui la refroidit, Marc la branlant pendant quasiment tout e trajet.
 
- Viens ma chèrie !
Il faisait doux et Marie était sur ses très hauts talons. Au nombre de voitures stationnées et passantes, elle se dit qu'elle allait encore vivre quelque chose de nouveau.
- Et la police ?
- T'en fais pas pour eux !
Trois jeunes hommes attirés comme des insectes par la lumineuse tenue noire de Marie s'approchaient. Son amant lui parla à l'oreille.
- Enlève ta jupe, de tout manière, elle ne cache pas grand chose !
Marie hésita, plus que troublée ; elle cache quand même ma chatte ! se dit-elle.
En regardant Marc, elle baissa lentement, très lentement sa micro jupe.
- Je fais un striptease en pleine rue maintenant ! pensa-t-elle
 
Jérome passa ses doigts sur la fente.
- Elle est trempée la cochonne !
 
- Le haut ma chérie maintenant, on voit déjà beaucoup tes seins mais je crois que tes nouveaux admirateurs ameraient en voir plus !
 
Il laissa un instant la laisse et Marie fit passer le débardeur par dessus sa tête ; elle était maintenant nue excepté son collier, ses bas et ses hauts talons ! Marc mit les vêtements dans la voiture et entraina Marie dans la pénombre du bois.
 
Ils n'étaient pas seuls ; une douzaine d'hommes les suivait. Ils savaient que la suite allait être intéressante ; une très jeune femme nue et tenue en laisse, en plus avec des seins que beaucoup n'avaient vus qu'en photos ou dans des films ...
 
La suite allait effectivement leur donner raison !
 
Très vite Marc s'arrêta devant une table en bois.
- Messieurs, cette jeune femme d'à peine vingt ans est à vous si vous avez des capotes !
Evidemment, tout le monde était pourvu, et Marie reçu en une demi heure une bonne quinzaine de sexes différents dans ses trois orifices. Encouragée par marc et Jérome, elle s'appliqua comme elle pu.
 
- C'est sa première sortie ainsi !
Marc précisa ces détails, qui rendirent plein d'ardeur à ses nouveaux amants !
- Dans quelques temps, elle aura la langue perçée, vous verrez la sensation si on se revoit !
Les hommes vidaient leur préservatif sur elle, c'est ruisselante de sperme et toujours tenue en laisse qu'elle fut ramenée à la voiture ; elle s'en fichait d'être nue.
- Tu pues le sperme ! Tiens, tu vas rentrer dans le coffre !
 
A sa grande stupeur, Marc la fit rentrer nue dans le coffre assez grand de son véhicule devant de nombreux voyeurs.
 
Revenus devant chez elle, il la fit sortir ; à cette heure tardive il n'y avait personne et c'est toute nue qu'elle remonta non sans avoir sucer une nouvelle fois Jérome dans le hall d'entrée, puis Marc !
 
Epuisée, il la laissa dormir après une rapide douche.
Ils se reveillèrent tard. L'heure du déjeuner était passée, ils collationnèrent. Marc demanda à Marie ce qu'elle avait pu ressentir durant toute cette soirée.
Troublée, hésitante, elle dû reconnaître qu'elle avait aimé se montrer, être prise par tous ces inconnus ; c'est juste la sortie devant ses voisins qui l'embêtait.
 
- Tes voisins ? Ce n'est rien ! Bientôt tu feras mieux, devant eux, devant d'autres voisins ; n'oublions pas ta famille, j'ai hâte de rencontrer ta soeur ; quand arrive-t'elle déjà ?
- dans 5 ou 6 jours je crois, pourquoi ?
- Je te l'ai déjà dit, pervertir une gamine de seize ans m'excite et mes amis aussi, ne les oublie-pas !
- Mais que veulent-ils de Florence ? Ils ne la connaissent même pas !
- Tu verras bien, mais ils sont très imaginatifs !
- Ca ne me plait pas !
- Ah ! La grande soeur qui défend la petite !
 
Marie, mutine, lui tira la langue.
Marc se dit qu'elle serait très mignonne avec un bijou sur cette langue, et pourquoi pas deux ?
- Bon, au fait, il serait temps d'y aller ! On va commencer à te rendre présentable en te posant tes premiers anneaux et après je t'invite au restaurant !
 
Toujours vétue à la limite de l'indécence, mais avec des talons moins haut que la veille et sans bas et sans laisse, Marie partit au bras de son homme qui se transformait de plus en plus en maitre.
Elle imaginait déjà les anneaux sur son ventre et se disait
qu'assise avec ce qui lui servait dorénavant de jupes ou de robes elle susciterait encore plus la curiosité, la convoitise ou la critique.
 
Mais elle s'en fichait, voulant briser les dernières chaines qui la retenait encore à son éducation passée. Pourtant, avec ce qui s'était passé la nuit précédente elle aurait pu s'en croire affranchie, mais non, elle se sentait prête à plus !
 
Marc le ressentait aussi, le regrettait presque, car il aurait préféré forcer comme tous les hommes la volonté de sa maitresse qui se prêtait à tout.
 
Ils arrivèrent au cabinet médical.

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille
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