Vendredi 18 février 5 18 /02 /Fév 21:03

Chapitre 2
 
Cette soirée au restaurant avait déclenché un nouveau type de rapports entre Marc et Marie. Tout en dînant, il lui expliqua ce qu'il attendait dorénavant d'elle. il avait bien perçu sa docilité et ses fantasmes cachés et il voulait les développer pour leur plaisir mutuel.
Marie avait du mal à manger, troublée par les phrases de son amant, ne sachant jusqu'où il voulait l'emmener, où plutôt si ...
 
Marc, lui même influencé par des lectures et quelques expériences non poursuivies par le passé pensait avoir trouver la perle rare qu'il recherchait depuis quelques années ; il allait pervertir, transformer, modeler à sa guise cette jeune étudiante. Il s'était rendu compte de jour en jour qu'elle avait des prédispositions cachées.
 
Lors de cette soirée il lui annonça de nouvelles règles. Elle allait devoir apprendre à s'exhiber et à perdre toute pudeur.
- Mais il y a des limites, quand même, minauda-t-elle
- Pour toi il n'y en aura pas, ni chez toi, ni à la Fac, ni chez tes parents !
- Ce n'est pas possible, je ne veux pas, je ne peux pas passer pour une salope !
- pas pour une petite salope ...mais pour une petite soumise !
- D'ailleurs, continua-t-il, tu m'as montré des photos de ta mère, tu tiens d'elle !
- c'était juste des photos en maillot de bain ! Je n'ai jamais vu ma mère en jupe au dessus du genou ! Et puis tu sais elle a quarante et un ans !
- Et ta soeur seize, je sais ! Mais vous êtes toutes les trois superbes avec vos poitrines ! Vous faites du monokini à la plage ?
Et ton père, qu'en pense-t-il ?
 
Marie, de plus en plus troublée, ne pu répondre, écoutant Marc.
 
- Dans ta garde robe, je ne veux plus que du noir, un peu de rouge, mais rien d'autre ! du noir tu as compris !
- Oui, mais j'ai peu de vêtements de cette couleur.
- Ca tombe bien car on va renouveler en profondeur tes tenues ! Et je compte bien te procurer quelques accessoires ...
 
- Quels genres d'accessoires chuchota Marie, car ils n'étaient quand même pas tout seuls dans ce restaurant, et elle avait remarqué certains regards sur sa grosse poitrine quelque peu bien mise en valeur par son nouveau chemisier.
 
- Tu verras bien demain, mais je pense que le port d'un collier t'ira très bien par exemple.
-Un collier ?
- Oui !Un collier comme on met aux chiens ... ou aux petites chiennes ...
- Tu veux que je porte un collier de chien autour du cou ?
- Oui ! Il la regarda durement dans les yeux.
- Et quand ?
- Tout le temps ou presque, comme d'autres choses !
- C'est quoi les autres choses ?
- Tu es bien curieuse ma petite cochonne ; As-tu jamais entendu parlé de godmichets, de plugs, de boules de geisha ?
- Non, ca sert à quoi ?
Marc était aux anges, sa petite Marie était décidemment très naîve ...
- Tu verras bien, mais je te promets que tu en ressentiras un grand plaisir !
 
La suite du repas se poursuivit sur le même thème. Marc lui demanda si elle aimerait faire l'amour avec deux hommes, trois hommes, beaucoup plus en même temps, avec une femme. Marie, surprise de devoir réfléchir à des questions qu'elle ne s'était jamais posé devint vite écarlate. Aimerait-elle être attachée ? Avoir des pinces
sur ses tétons, ses lèvres, son clitoris ? recevoir le martinet, être fouettée, cravachée ...
 
-Tes silences sont des réponses ma chérie !
 
Le repas prit fin et ils sortirent. Marc reprit sa voiture et demanda Marie si elle voulait voir quelque chose d'intéressant.
Elle lui répondit que oui.
 
Vingt minutes plus tard Marc s'enfonça dans le bois de Boulogne, et tout d'un coup Marie découvrit toute une faune de chaque côté de la route pourtant passante à cette heure avancée de la nuit.
Marc roulait presque au pas montrant à sa compagne les prostituées.
- il y a beaucoup de trans la dedans !
- Des trans ?
- Oui, des transsexuels, ne me dis pas que tu ne sais pas non plus ce que c'est !
 - Si si, mais je suis surprise.
Marc, tout en roulant passa sa main droite sur la cuisse largement dénudée de Marie.
- Tu es troublée ? tu sais qu'il n'y a pas que des putes, il y a aussi de temps en temps des couples qui viennent s'encanailler ici, si tu vois ce que je veux dire ...
- Mais ce n'est pas dangereux ?
- Ca peut l'être mais généralement les gens qui sont là savent pourquoi ils sont là et les voyeurs sont corrects, ils ne vont pas casser la poule aux oeufs d'or, la police fait assez de rondes !
En disant cela il caressait délicatement les lèvres intimes de Marie.
- Tu vois, c'est quand même plus pratique sans culotte !
- Arrête, tu commence à m'exciter avec en plus tout ce que tu me racontes !
- Ca t'excite ? Veux-tu qu'on descende et qu'on fasse un tour ?
- ......
- Juste un petit tour, je ne te demanderais rien ; je veux simplement que tu te rendes compte qu'il y a un monde de la nuit même si ce n'est pas forcement le plus sain.
- Le plus sain ?
- oui, ceux qui viennent observer ici ont souvent une vie affective mièvre, c'est triste.
 
Pour se garer il sortit les deux doigts qu'il avait entré dans la chatte de Marie.
- Je suis trempée ! dit-elle
- Je sais, j'ai remarqué ! Et il passa son doigt sous le nez de sa petite cochonne.
 
Dans la pénombre des faibles candélabres, il prit la main de Marie, surpris par le fait qu'elle accepta si vite de sortir de la voiture pour voir ce qui ce passe de plus près. Une ancienne compagne n'avait jamais voulu. Elle allait vraiment plus vite qu'il ne pensait ! Ce qui alla aussi vite furent les regards sur elle par une
gente masculine à 90% ! Sa jupe n'était pas si courte mais sa poitrine était bien dévoilée et elle sucitait bien des convoitises.
 
Marc, au bout de cent mètres parcourus le long de l'avenue lui proposa de s'enfoncer un peu dans le sous-bois. Ce fut Marie qui bifurqua la première en l'entrainant !
 
Au bout de vingt mètres d'un petit sentier ils virent des ombres devant eux. S'arrêtant, il virent qu'une femme, la jupe relevée se faisait prendre en levrette par un homme. Marc excité, se placa derrière Marie, prit ses gros seins en main -décidement sa position fétiche !- à travers son chemisier.
C'était la première fois que Marie voyait un autre couple faire l'amour, Même si ils étaient quasiment dans le noir !
Marc passa une main sous sa jupe, commenca à lui caresser les fesses ...
- Qu'en penses-tu ma petite cochonne ?
- Arrête ! Tu avais dit qu'on ferait juste un petit tour.
elle souriait en disant cela, se laissant caresser comme s'ils étaient seuls !
Mars se débraguetta.
-Prends ma queue !
Elle obéit et pris la queue déjà tendue et commenca à le branler.
De son coté il déboutonna le chemisier et les belles et puissantes mamelles de Marie écartèrent d'elles-mêmes les pans du chemisier.
Elle avait les seins à l'air dans un bois inconnu pour elle à quinze mètres à peine d'un couple tout aussi inconnu en train de baiser !!!
- Enlève ton chemisier ! lui dit-il
D'une main, alternant avec l'autre, elle l'ôta, le laissant choir à ses pieds. Il faisait doux pour ce printemps mais elle eu quand même  la chair de poule !Elle était maintenant le torse nu !
Ce fut alors que Marc lui dit qu'il y avait du monde à les regarder !
Elle se crispa sur la queue de son amant, mais ne la relacha pas !
- Où ca ? dit-elle, soudain inquiète mais sans songer à ramasser son chemisier.
-Derrière toi, mais ne te retourne pas ! Ne t'occupe pas d'eux, continue à t'occuper de ma queue !
Marie, ne savait plus quoi faire, elle n'était pas paniquée, mais ressentait quelque chose de nouveau, elle ne savait pas le définir...
-Ote ta jupe ma chérie !
Elle s'en doutait. Sans se retourner elle baissa celle-ci, sachant très bien qu'elle montrait ses fesses aux voyeurs. Combien étaient-ils au fait, Marc ne l'avait pas dit, mais après tout quelle importance se disa-t-elle.
Elle était maintenant complétement nue en plein air, dans un endroit pouvant être dangereux ! Plus de doute pour Marc, sa petite Marie était prête à beaucoup de choses, il hésitait toutefois à accélerer les choses : était-elle prête à se donner déjà à des inconnus ?
- Veux-tu les voir ? Veux tu les toucher, les caresser ? les sucer ?
Veux-tu qu'ils te prennent comme ceux que tu vois ?
- tu avais dit qu'on ferait juste un petit tour !
- Oui ! Et c'est pour cela que je vais respecter ma parole. on va retourner à la voiture mais je voudras que tu restes nue jusqu'à la route.
- Je vais devoir passer devant ces hommes toute nue ?
- Oui ! cela fait partie de ton éducation, tu verras, c'est comme si tu faisais du naturisme !
- Peut-être, mais ici il fait nuit et j'ai ta queue dans ma main !
- Veux-tu me sucer avant ? devant ces hommes ?
 
Sans un mot, mais en ne quittant pas Marc du regard, elle se mit à genoux et emboucha la tige de son amant. Il éjacula assez vite suffisement excité par la situation ! Marie se releva, du sperme aux commisures de ses lèvres. Marc prit sa jupe et son chemisier et ils partirent. Marie se rendit compte que les voyeurs étaient cinq, et
elle passa devant eux, les pointes des seins tendues. Elle se sentit étudiée, désirée...elle était fière...et elle regretta presque que Marc lui redonna ses vêtements près de l'avenue !
 
- Je suis content ma chérie ! Pour cette première fois je te rends tes vêtements mais bientôt je te ferais promener nue avec ton futur collier. Et puis une petite laisse t'irait bien, qu'en penses-tu ?
 
Marie, plus que troublée, avant de se rhabiller, l'embrassa fougueusement.
 
Dans la voiture, elle se laissa faire lorsque Marc lui ota à nouveau les boutons de son chemisier.
 
- tu va rentrer la poitrine à l'air ! Quand on a des seins comme les tiens on les montre à la terre entière !
 
A cette heure, personne ne bénéficia de la vue des appâts mammaires de Marie et il l'emmena chez lui.
 
La nuit fut courte, excités par ce qui s'était passé au bois, les deux amants firent l'amour comme des possédés ; Marc pensant à tout ce qu'il avait prévu avec elle, Marie se disant qu'avec un tel amant elle serait prête à tout accepter.
 
Le lendemain matin, enfin après midi, ils étaient prêts à faire des emplettes. Pour ne pas trop la choquer -quoique après la soirée précédente...- il décida de ne pas l'emmener dans un classique sex shop mais dans un de ces supermarchés du sexe -ca sonne mieux-, situé dans une petite rue proche de la rue du Faubourg St-antoine.
Pour y aller, il avait acheté d'avance une autre tenue pour sa compagne.
- Encore !
- Oui, tiens, il fait bon, je pense que ca t'ira !
Marie mit la courte jupe évasée, très courte jupe qui lui arrivait presque au raz des fesses !
- La tu exagères ! Je ne peux pas sortir avec une jupe comme ca !
Elle est vraiment à ras la touffe !
- que tu n'as plus... dit-il avec ironie
- De toute manière, bientôt tu ne porteras que cette longueur. Tu as de belles jambes, il faut que tu les montre !
- Mais je montre pratiquement mes fesses !
- Mais non, n'exagère-pas !
- si, je vais passer pour quoi ?
- pour une jolie fille un peu exhib ! Mais je veux plus !
- quoi de plus ? Dit-elle, inquiète.
- Je veux qu'on voit que tu es soumise, ma petite soumise, le collier de chien en est un élement, d'autres aussi.
- Lesquels ?
- Tu es bien curieuse ! tu verras bien ! Et lis les livres que je t'ai passé !
- Et c'est quoi ce débardeur ?
 
Le haut était un simple débardeur noir, très légerement transparent,
mais qui laissait en tout cas les pointes des seins apparents. Sa grosse poitrine n'avait jamais été aussi mise en valeur et exposée !
 
- Tu dois apprendre à te montrer, je te l'ai dit hier soir au resto !
- C'est trop, et c'est trop rapide, je n'ai pas l'habitude, je ne pourrais pas aller à la fac comme ca, je vais passer pour une pute !
- Et alors ? Tu seras une jolie pute et je suis certain que salope comme tu es tu mouilleras ta petite chatte !
 
Au lieu d'être choquée par les propos de son amant, Marie était au contraire plus que troublée. Elle avait toujours aimé son corps pour elle même et elle découvrait que l'exposer à d'autres lui faisait des sensations !
 
- Allez ! on y va !
Marc pensait à ce qu'il avait prévu d'acheter pour Marie et à ses réactions devant certains de ses projets. Comment allait-elle le prendre.
Il faisait beau, ils n'étaient pas loin et ils partirent à pied.
Marie fit se retourner beaucoup de gens. Il est vrai que cette jeune femme aux cuisses si génereusement exposées et à l'orgueilleuse poitrine tout aussi visible ne passait pas inapercue. Elle en était consciente...et sentait sa chatte s'humidifier...
 
Marc en voulait beaucoup plus ; il ne voulait pas d'une pute mais d'une femelle docile, fétichiste et soumise. Il allait voir ce qu'il allait pouvoir faire dans ce supermarché du sexe !

Par noires0ul - Publié dans : Marie et sa famille
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